Plume

Partie 1

Le temps passait très vite depuis le mois de mars avec le beau temps et le soleil on était accro. Louna était partis depuis des mois à New-York avec son père elle adorait la ville,l'odeur des hamburger et surtout des boutiques. Elle était riche presque toute les vacances elle partait quelque part à Paris,en Colombie,au Canada et même en Russie. Elle était accro au shopping et au crème glacer.Moi mon rêve ce serait de partir avec elle en voyage. J'y ais réfléchi longtemps...

C'était comme cela que je voyais la vie,doucement à un instant un papillon c'était poser sur moi. Sur ma lèvre,on distinguait le dessin mélancolique de ses ailes grises.

C'est comme ça que la nature m'avais choisie,car avec cela je trouvais à la nature un ressenti au niveau du toucher,au niveau du message ou du secret.Le lendemain Louna me réveilla en tapent sur ma fenêtre je l'ouvris,j'étais toujours en pyjama,mon t-shirt décolleter était assez court. Louna m'offrit un joyau qu'elle avait trouver sur un banc à New-York. Ce joyau parmis tant d'autres brillait comme de l'argent. Je le posa sur mon étagère,il continuait à briller malgré le soleil.

Pour le goûter,je me prépara des chouquettes(de jolie gâteaux en rond). Mes parents ne se souciaient pas de moi car ils me lésait faire se dont je voulais. Mon père travaillait dans les bureaux,ma mère travaillait dans un restaurant. Je me suis régaler car ils étaient fourrée à la fraise,chocolat,mûre,miel et nature. De petites roses ornaient les chouquettes. Elles étaient faites en pâtes à sucre. Mon père entrouvrit la porte et sentait la bonne odeur de mon goûter.Il se précipita sur la table il pris une chouquette et il ouvrit la bouche mais soudain maman l'appela,ils eurent une grande discussion des coups de colère éclatèrent le genre de chose qui arrive mais là ça devenait inquiétant. Les jours passèrent et mes parents desidèrent de mettre les chose au clair et de ne pas rester là à faire semblant avec des choses d'adultes. Mon père pris ces affaires et il partit avec sa valise et son blouson en cuir noir. Ma mère me prit la main et me la serra très fort et elle la lâcha et partit dans la chambre. Je me souviens cette image qui me rappelait mon enfance,mon père main dans la main avec moi on marchait tout les deux au soleil envoûtent et hypnotisant.

Le lendemain des cartons autour de moi,que des cartons,mes meubles étaient emballer et démonter et impossible de les reconstruire. Tout mon petit paradis était enfouit et il me serait impossible de le déterrer à moins de savoir creuser le sable et les cailloux. Ma mère sous le choc me pressa et je pus enfin poser ma question

<On va où?>

Elle ne me répondit pas et laissa un grand silence dans la maison,elle plia les dernières affaires et rangea tout ça dans la valise que papa lui avait offerte pour ces 20 ans,c'était une énorme fête avec banderoles et feux d'artifice.

*Le jour comme la nuit la table rayonnait et les fruits sur le  dessus laissait une légère impression que l'amour vivait entre lui et moi,le citron poser sur la table n'était pas encore presser mais le jaune n'était guère jaune mais vert. Il s'approcha de moi et...*

Je me réveilla en sursaut et une légère odeur de déménagement remplissait l'air chaude et humide à la fois.

Ce rêve était presque pour moi une pure imagination.

Mais pourtant,une force m'empêchait d'y croire.

Ma mère m'apporte pour la première fois mon petit déjeuner dans ma chambre, je fut agréablement surprise et je souris bêtement pensant qu'elle y croirait. Mais elle pense surement que je suis heureuse mais ce n'ait pas le cas. Je nais plus mon père a côtés de moi et je suis obliger d'emménager ailleurs que mon petit cartier tranquille et paisible.

Avec le recule,j'ai appris que mes voisins faisaient semblant de nous appréciez ma mère et moi. Donc du coup,je m'enferme dans ma chambre,je refuse de sortir de ma maison.

Lundi

Mon réveil sonne 8h40,je me lève,un peu sonner mais je réussi à m'en sortir. C'était pour moi,le lundi,le pire jour de la semaine. Ma mère boit une dernière gorgée avant de partir 4 jours à Londres. Elle m'a confier la maison pendant ce temps. Elle file prendre le bus qui rejoints l'aéroport. Elle m'embrasse une dernière fois avant que les portes ne se ferme,soudain je cours après le bus,comme si mon cœur me le dictait. Je cours,je cours sans m'arrêter jusqu'à ce que la barrière de Hot Staund ce ferme et laisse derrière lui une enfant au cheveux châtains qui vole dans le vent si froid,ne sachant plus quoi faire derrière celle-ci,et rebroussa chemin le long de la route.