Yaoi's Shot

Une ruelle accueillante

Hey, on se retrouve pour un Shizaya, lemoneux. Donc âmes sensibles, s'abstenir.        

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       Izaya Orihara déambulait dans les rues d'Ikebukuro à la recherche d'une nouvelle victime, a utilisé. Lorsque soudainement, un distributeur de boissons atterit à ses pieds. Il savait très bien qui s'était, mais se retourna tout de même, pour le dévisager.

-"Shizu-chan ! Je t'ai tant manqué ?" dit alors l'informateur pour le provoqué.

          Le faux blond ne dit rien, lâcha juste un grognement presque animal. Puis arracha un panneau de signalisation au passage, en se rapprochant dangereusement de sa cible, la puce de son surnom. Il essaya de lui mettre un coup à son adversaire, mais celui-ci l'esquiva habillement, souriant d'un air provocateur.

-"Putain.", cracha Shizuo en s'énervant encore plus.

Il décida de jeter le panneau qu'il avait arracher, plus loin. Il le prit par le col pour le secouer comme un prunier. Il lui hurlait dessus, lui disait à quel point il le détestait, à quel point, il lui voulait qu'il meurt, jusqu'à ce qu'Izaya l'embrasse langoureusement avec toujours ce sourire provocateur. L'ancien barman, le repoussa violemment, le faisant tomber parterre sur les fesses. L'homme le plus fort d'Ikebukuro commença à partir, désintéressé par son ennemi. Quant à sa Némésis, il le fixait avec une certaine lueur de malice, il se lève alors et sauta sur le dos de Shizuo, riant comme un idiot à sa connerie. La bête se débattit, puis il eut un retournement de situation. Ils tombèrent tous les deux au sol, le garde du corps avait trébuché à cause d'une cannette de bière encore remplie, il tomba à plat ventre, emmenant la puce avec lui...

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Quelques minutes plus tard, Heiwajima se leva, l'arcade en sang, les vêtements sentant la bière à plein nez. En effet, en tombant la cannette lui avait ouvert l'arcade et renverser sur son précieux costume. Izaya, lui regardait son rival. Il souriait toujours aussi moqueusement, car lui n'avait rien, aucunes blessures. Il était même en pleine forme, pas comme l'homme devant lui, mal en point. Mais toujours fier, dominant. L'informateur décida de venir essuyer le sang avec sa manche de manteau et il vint murmurer presque sensuellement à l'oreille de Shizuo:

-"Je vais te soigner chez moi, Shizu-chan !~"

Avec un air enjoué, il le prit par le poignet. Il se dirigeait chez lui. Il avait hâte, l'homme le plus fort d'Ikebukuro état presque second, le suivant calmement, même s'il avait du mal à tenir debout, trébuchant de temps à autre jusqu'à se qu'ils soient à l'immeuble où habitait l'informateur. Il dû le tenir lorsqu'ils étaient dans l'ascenseur car le faux blonds manquait de tomber. Et enfin ils atteignirent le d'habitation du sadique.

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Izaya emmena directement le blond dans sa chambre pour le coucher. Shizuo commençait à revenir à lui cela allait être très embêtant pour la suite des événements. En effet, le plus grand secoua la tête bien décidé à reprendre ses esprits, il cligna des yeux plusieurs fois et envoya brusquement valser le plus petit, en le voyant penché sur lui. La puce surprit, n'eut pas le temps de contrer ou même de s'en rendre compte, qu'il se fit encastrer dans le mur le plus proche en lâchant un gémissement douleur en même temps :

-"Urgh."

La bête se leva pour détailler sa Némésis, complètement en position de faiblesse. Un sourire satisfait trônait sur ses lèvres. Il ne put s'empêcher de faire une remarque:

-"Ça ne te rappelles pas quand j't'ai baisé la dernière fois ? Tu t'en souviens hein.~"

Bien que cela puisse surprendre, ces deux là avaient eut quelques dérapages, cela leur arrivaient de coucher ensemble, peut-être bien que la haine faisait qu'attiré le sexe ou bien l'amour...

Shizuo barra directement le passage à Izaya qui essayait de s'enfuir, les joues rouges. Il était presque adorable pensa l'ancien barman. La puce finit par marmonner sans articuler:

-"Tais toi."

-"Pourquoi je me tairais ? Assume.", répondit le faux blond.

-"Ferme là !", hurla presque alors que Shizuo s'approchait.

-"N'approche pas !", dit encore le soumis d'un ton sec.

Shizuo ne l'écoutait pas, il le coinça même contre le mur pour l'embrasser sauvagement, mettant ses mains sur les hanches de son futur amant. Il commençait à tirer sur le haut d'Izaya pour bien faire comprendre le message, le brun était totalement sous l'emprise du faux blond. Le brun décida alors d'enlever son haut, avec l'aide de Shizuo qui finit par perdre patience et le déchirer, il tomba en morceau sur le sol. Puis, il s'attaqua directement au pantalon, le dominant souhaitait voir son amant nu, entièrement. Tandis que le soumis, tirait sur la chemise blanche de l'ancien barman, et donc il la déboutonna avec un regard brillant de désir, pour le corps de son futur amant.

Il commença, d'abord à caresser le torse ferme ainsi que musclé du blond. Caressant au passage, l'une des cicatrices qui lui avait faite avec un grand sourire provocateur aux lèvres. Ensuite, il déboutonna le bas, tandis que le garde du corps semblait un peu moins sauvage, -il le relâcha même par miracle- il se laissa tomber à genoux devant son dominant, sans le quitter du regard une seule seconde. Il abaissa son bas et malaxa le membre de l'homme au cheveux teint. Enfin, il le sortit et le mit en bouche sans attendre. Il voulait le rendre totalement fou de lui. Sa provocation fonctionna, Shizuo lâcha un grognement presque animal et empoigna les cheveux de jais de son partenaire. Et marmonna un :

- " Putain. ", frustré.

Parce que Izaya faisait que de léger va et viens dans sa bouche sans aucun entrain. Il ressera sa poigne et perdit patience, il enfonça tout d'un coup son engin dans la bouche de son amant, le laissa s'étouffer avec un sourire grognard, de plus, il fit en sorte d'imposer le rythme, juste pour se venger de tous ce qu'il lui avait fait subir. Il en voulait seulement pour son plaisir pour cette fois, mais il passerait juste après à celui du brun, qui celui-ci commençait déjà à se masturber sous ses yeux. Le faux blond ne fut pas du tout d'accord avec ça, il relâcha sa poigne et le repoussa pour qu'il arrête.

- "Qui t'as autorisé à te toucher !?", cria t- il.

Izaya se sentit soudainement soumis à l'ancien brun, il se mit finalement à quatres pattes, lui montrant son anus, le dominant s'approcha alors, pour commencer à le préparer sans douceur, il était beaucoup trop impatient pour ça, l'homme en dessous gémit et bougea les hanches comme pour en avoir plus, c'est ce que le blond fit. Il enfonça un deuxième doigts en lui, il ecarta les chaires sans se soucier de son amant, puis finalement au bout de quelques minutes, il les enleva. Attendit quelques instants avant de commencer à rentrer son membre, cette fois-ci avec une certaine douceur. Faisant couiner le brun de douleur, mais il n'attendit pas pour bouger.

Les vas et viens du plus grand était lent mais brutaux, il le tenait par les hanches avec une force qu'il ne mesurait pas, d'ailleurs il n'en avait pas du tout envie. Tandis que la puce était peu à peu envahit par le plaisir. Griffant le dos de son amant et lui demandant d'accélérer.

Cette partie de jambe en l'air fut torride, entre les cris, les grognements et les supplications. Tout n'était que de la débauche. Alors qu'Izaya était sur le point de jouir, Shizuo attrapa le membre tendu de son pire ennemi et le serra.

- "Shizu-chan...laisse moi jouir..aah..~", se plaignit le jeune homme.

Un sourire carnassier apparu sur le faciès du faux blond. Il relâcha le membre de sa victime, qui jouit automatiquement après dans un gémissement langoureux. Et un Shizuo qui jouit dans l'entre de l'informateur sans aucune gêne. Après quelques minutes, l'ex-barman se décida à s'enlever, et commencer à se rhabiller. Sous le regard vitreux du brun. Un soupir fendit les lèvres de Shizuo. Il décida de le rhabiller. Et de le porter en mode princesse. Sous la moquerie de l'homme aux yeux rouges.

- "Bah alors..Shizu-chan, on aide son ennemi ? Aurais-tu de l'humanité ? Sale monstre..?" demanda le brun dans les bras du surhumain.

-"Ta gueule et dors." souffla le faux blond. Ne répondant pas à la provocation.

Étonnamment, l'autre ne répondit rien, et se blottit en fermant les yeux, dans l'espoir de dormir.

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C'est ici que ça se termine, bonne soirée !