magicalcards

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Je me réveilla dans une salle métallique blanche. Elle était pas très grande, À peu près aussi grand qu'un coin WC dans un restaurant, oui ben je fais comme je peux pour vous faire imaginer. Il y avait un lit simple avec un toilette et un évier mais quelque chose m'interpella, il y avait un problème dans cette pièce il y avait aucune fenêtre et aucune porte ! C'était comme un cube de métal, et pourtant il ne faisait pas chaud Hilaire été respirable. Je ne sais pas depuis combien de temps c'était enfermé ici mais je commençais à avoir faim. Puis j'ai remarqué que je n'avais pas les mêmes vêtements qu'avant. J'étais en blouse blanche, je vis une chaise à côté de l'évier, un t-shirt blanc avec un pantalon noir et chaussures blanches et noires pour me changer. Je me leva alors pour aller en direction de la chaise, je remarqua qu'il y avait un grand miroir permettant de me voir de la tête aux pieds. Je m'arrêta une seconde pour réfléchir, il y avait pas tout ça quand je me suis réveillé pourtant, me demande ai-je. Je me retourna pour vérifier s'il y avait toujours le lis et le WC, mais oui tout était en ordre. Perplexe j'enleva ma blouse ce qui me permis de voir mon corps nu en reflet grâce au miroir.

Je revis mes cicatrices faites à l'entraînement pour être explorateurs. Des brûlures faites par des accidents ou par punition des coupures faites par des bâtards. En repensant à tout cela je commença à me dire qu'il me manquait quelque chose de vital, pour moi. Perplexe de ne pas savoir, je commença quand même à me changer, puis compris ce qui me manquer. Mes cartes ! Je n'avais plus mes cartes de magie, qui sont aussi mes armes. Chaque explorateurs à son arme fétiche, qui est lié à lui via un lien électromagnétique de plasma. Ce qui permet à celui-ci de pouvoir savoir où sont cachés ses armes et/ou de pouvoir les faire téléporter jusqu'à lui. Je décida alors de les téléporter jusqu'à moi mais je n'y arrivais pas. C'est comme si le lien était brouillé. Je commença me dire que j'étais plus un prisonnier qu'autre choses. Je me déplace pour aller sur le lis et réfléchir à ma situation. Mais au même moment une trappe s'ouvrit pour laisser passer un plateau avec de la nourriture dessus, puis se referma comme si rien ne s'était jamais passé. Je commença à comprendre que je n'étais pas dans une salle en métal blanche normal, j'étais dans une salle d'oubli.

Une salle d'oublie, c'est une salle où il n'y a aucune possibilité de parler ou communiquer avec l'extérieur. Cette salle est plus souvent utilisé pour que les prisonniers ne sache plus quelle jour on est, pour que l'on puisse leur faire croire n'importe quoi, vue que le temps passé dans une salle d'oublie passe très lentement et que l'on ne peut rien faire à part attendre. Mon ventre commença à crier famine quand je sentie la bonne odeur de nourriture. Je me rapprocha du plateau et je vis qu'il y avait du melon en entrée​ avec des pattes bolognaise en plat pour finir avec une glace vanille en desserts avec du coca en boisson. Alors oui je connais tous ces aliments, mais je n'en ai mangé aucun de toute ma vie. Ces aliments on était perdu avec la disparition du soleil. Mais je les connais grâce à ma mère qui travaillent sur notre histoire d'avant la disparition du soleil. Je vis avec surprise deux objets en métal utilisé par nos ancêtres. Un couteau et une fourchette. Oui vous me comprenez , c'est bizarre habituellement soit on prend du liquide que l'on boit où il y a tout ce qu'il faut pour notre corps dans les moindres détails ce qui permet à celui-ci de ne pas grossir. Perplexe je commença à manger en espérant que ce ne soit pas empoisonné, au faite bonne appétit à vous ! Pendant le repas je découvris mille et une saveur impressionnante et qui sont super bonne. Après avoir fini de manger une partie de la pièce devena vert pomme, j'en conclu que je devais mettre le plateau ici pour que celui-ci puisse partir. Un peu déçu de ne plus avoir de goût fascinant, je plaça le plateau sur la partie lumineuse et celui-ci disparu en tombant dans le vide. A ce même moment une carte apparue en l'air. Un as de pique, ma carte porte bonheur. Je commença à me dire que les personnes chez qui j'étais prisonnier me connaissais vachement bien.

On va dire qu'une semaine après avoir eu la carte, oui je dis à peu près une semaine car cela faisait 7 repas, une porte s'ouvrit. C'était pas du tout entraînant d'y aller vue qu'il faisait noir, complètement noir. Mais bon j'avais envie de sortir de cette boîte blanche, et même si à ce moment là mes bijoux de famille se sont rétrécis à la grandeur d'une peulfuche chimiraine, ce qui est très très petit, j'ai pris mon courage à deux mains et je me dirigea vers la porte noir. La porte se ferma derrière moi me laissant dans le noir le plus complet. Des flèches s'allumèrent au sol, ce qui me fit sursauter et me prendre le plafond, qui était pas très haut, qui montrait la direction que je devais prendre. Je me décida de suivre la direction indiqué, mais plus j'avançais plus j'entendis des cris de rage et de joie, mais des milliers. Je ne compris pas tout de suite ce que cela signifiait, jusqu'au moment où la fin du couloir noir arriva après un virage et j'atterris à l'endroit même où tous les cris étaient rassemblé. C'est le moment où je compris ce qui m'était arrivé et je commença à me dire que j'étais vraiment dans un putain de gros merdier !

2-3 chapitreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant