Partie 8

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Ibrahim, ce tenais en face de moi, en tenant mes épaules de ses deux mains, tout en me regardant fixement. J'avais peur qu'il remarque quelque choses, j'ai baissé la tête.

Moi : ha!! Sorry, je me suis perdue. Je vous ai fait, vous inquiéter! Désolé les garçons.

Ibrahim : est ce que Cv ? T'a pas eu d'accident ?

Moi : non! J'ai eu de la chance, on m'a indiqué le chemin, au final. Je vais vraiment bien Ibrahim. Ne t'inquiète pas, d'accord ?

Ibrahim : ok, mais ne refais plus ça ok ? On n'avait vraiment peur, qu'il t'arrive quelque chose.

Aly : oui Amy, ne t'aventure plus seul dehors. Tu ne connais pas encore les lié.

Mariam : demande nous la prochaine fois, on t'accompagne d'accord.

Moi : ok. Désolé tout le monde.

Youssouf : Cv, plus de frayeur que autre chose.

Aly : bon moi j'ai faim, on ferait mieux de rangé les affaires, et d'aller manger.

Ibrahim : c'est vrai, il se fait tard. Dépêchons nous. Amy, reste avec tes cousines ok, ne t'éloigne pas trop.

Moi : ok j'y vais.

On a débarrasser vite fait les affaires, puis tout remis dans la voiture, maintenant on ce dirigea tous dans nos voitures pour partir au restaurant. C'est jusque au moment où, on allaient embarquer tous dans nos voiture, on attendit quelqu'un crier le non d'Ibrahim. On ses tous tournés pour voir une fille courir et enlacer fermement Ibrahim dans ses bras sans lâcher prise, tout en pleurant avec l'épaule tremblante. Cette fille n'était autre que, Aleycha.

Aleycha : je t'aime, je ne peut pas vivre sans toi, ne m'abandonne pas s'il te plaît. Je ferai tout ce que tu me diras promis.

Mais cousin, cousine était là, a ce regarder surpris, essayant de comprendre quelque choses.

Mariam : pourquoi elle est là elle ? Qui lui a parlé de notre venus.

Oumou : Khadi, c'est toi qui lui a parler ?

Khadi : mais non, pourquoi je ferai ça ?

Oumou : c'est ta meilleure amie.

Khadi : mais non, sans le consentement d'Ibrahim je ne ferai jamais ça.

Mariam : alors comment ? ...  vous avez snap  par hasard ?

Khadi : mais, oui, elle a regardé mes snap. Ainsi elle a sus où on était. Désolé.

Mariam : bon! Ce qui est fait est fait.

Oumou : vous ne trouvez pas qu'on agit bizarrement ? Depuis quand on cache les choses à Aleycha ?

Mariam : c'est depuis....

Elle ce tournèrent tous pour me regarder, sans terminer la phrase. J'ai compris à ce moment, qu'elles me cachaient des choses instinctivement quand il s'agissait d'Aleycha.

Moi : à cause de moi ? Vous n'avez pas besoin de me cacher des choses. Je ne suis pas si méchant que ça ? Non ?

Khadi : c'est pas ce qu'on veut dire.

Moi : par contre je comprends mieux ta réaction la dernière foie, il ce trouve que c'est t'a meilleur amie.

Khadi : Amy, n'imagine rien dans ta tête. C'est pas ce que tu crois.

Moi : ho! Je vois. Bon moi, je suis fatigué, je monte m'allonger dans la voiture, le temps qu'Ibrahim termine sa conversation, car je sans que ça va être long.

Mariam : ho! Ok.
............................................

Ibrahim : Aleycha, lache prise. Je pensais que t'étais retourné chez toi ?

Elle : non, je ne peut pas. Je n'arrête pas de penser à toi. Tu va en finir comme ça ? Je ne suis pas d'accord.

Ibrahim : rentre chez toi, on en parlera un autre jour ok ?

Elle : non!

Tout à coup, elle sais jeter dans les bras d'Ibrahim, il l'a maintenu pour la stabilité, elle en profita, pour l'embrasser en pleine bouche, devant tout le monde. Il y eu une silence, juste le Song des Baiser d'Aleycha. Ibrahim essaya de la retirer sans la blessé, mais elle s'accrocha, finalement il attendue qu'elle lache prise.
Sous l'angle où je l'es voyais c'était un baiser passionné. J'ai détourné la tête, tout en me forçant de ne pas craquer et pleurer.
J'ai fermé les yeux, pour vraiment essayer de dormir et tout oublier.

Aleycha : Ibrahim, mon amour, je t'aime. Dit moi que tu m'aime et je m'en irais, promis, je veut juste être rassuré.

Ibrahim : je t'aime aleycha. Arrête de pleurer et rentre chez toi. Laisse moi m'occuper de tout d'accord ?

Aleycha : d'accord. Un câlin!

Ibrahim l'enlaças, et plaça un Baiser sur sont frond, puis il lui caressa la joue tout en l'amadouât.

Ibrahim : maintenant rentre, je te contacterai ok.

Aleycha : ( sourir au lèvre) ok. Je t'aime.

Aleycha c'est tourner pour partir, avans de partir elle est venus voir Khadi, pour lui faire coucou, mais elle ne savait pas que j'étais aussi de sortie, jusqu'à ce qu'elle me voie dans la voiture. En me voyant, elle était fou de jalousie, elle ouvrit brusquement la voiture, me tira de l'intérieur en tenant fermement mon bras, jusqu'à ce que je ressentais de vive douleur insupportable.
Prie au dépourvu j'étais choqué, en même temps j'avais mal au bras.

Moi : qu'est ce que tu fait, lache moi, tout de suite.

Aleycha : c'est toi, a cause de toi, Ibrahim veut me lâcher alors qu'il m'aime. Pourquoi tu ne retourne pas d'ou tu viens ?

Tout en parlant, elle exerçait une grande force sur mon bras, je n'en pouvais plus. Sur le coup, j'ai arracher mon bras de sont emprise, a cause d'avoir exercé une trop grande force, elle est tombée par terre en ce cognant la tête sur un cayu. Le choc était tellement fort qu'elle saignait de la tête. Tout le monde était choqué, avans que qui que sa soit réagissent, l'accident c'est produit.

Moi : haaa!! Désolé j'ai pas fait exprès, laisse moi t'aider à regarder. Je suis vraiment désolé.

Je me suis accroupi à sont niveau, en même temps les autre ce sont rapprochés.

Aleycha : ne me touche pas. Ha! J'ai mal. Ibrahim où est tu, j'ai mal ( les larme au yeux)

Je ne savais plus quoi faire, tout était arrivé si vite. En même temps j'étais effrayée, eux tous pense que je l'ai fait exprès.

Khadi : Amy, ne t'inquiète pas c'était un accident. J'ai tout vus.

Moi : merci! Je pensais que tu...

Derrière on attend Ibrahim crier le prénom d'Aleycha

Ibrahim : ALEYCHA !...
qu'est ce qui ce passe ?

Aleycha : C'est Amy, elle m'a poussé. Sniffff.......   

Moi : je.... J'..

PAF......
Oui Ibrahim venait de me gifler sans hésiter. Silence, et choc pour tout le monde. Le plus choquant c'était moi. On ne m'avait jamais frappé de ma vie, et cette première gifle, venait de la personne que j'aimais le plus au monde. J'étais tellement choqué que j'ai même pas verser une larme, j'ai juste regardé Ibrahim avec douleur. J'ai même pas pris la peine de parler, je me suis retourné pour partir, mais il ne me laissa pas partir.

Ibrahim : ( énervé) tu va où ? Tu reste là !

Pour Toi ❤️Où les histoires vivent. Découvrez maintenant