Trop de cartons jonchent le sol de mon nouvel appartement. Je viens d'enmenager à Seattle. Depuis le temps que je rêve d'habiter ici, et maintenant que sa se fait, je ne réalise toujours pas.
Sortant une nouvelle fois de la pièce, mes clefs tombent. Je me baisse mais quelqu'un les ramasse pour moi.
"Tenez. Il me semble que ceci vous a échapper." dit l'homme devant moi. Si je devais le décrire, je dirais qu'il a tout juste vingt ans. Il a les cheveux châtain foncé, et les yeux marrons. Il est charmant.
"Merci." dis-je en un sourire. Je devrais être en train de déballer mes affaires mais me voilà en train de discuter avec un inconnu.
"Vous venez d'enménager à ce que je vois ?" affirme-t-il mais celà sonne comme une question. N'empêche, son sourire est contagieux.
"Oui, il y a quelques heures. Peut-être deux, je ne sais pas, je n'ai pas fais attention mais oui, je viens d'enmenager." souris-je à la fin de mon discour. Je parle pour ne rien dire, celà m'agace.
"Oh d'accord. C'est quelque peu précis." ricane-t-il et je ne le blâme pas. Je crois que je me suis fais honte. "Pourrais-je savoir comment vous vous appeller ?"
"Anna Camphbell, et vous ?"
"Alex Sherly. Enchanté de vous connaître Anna." dit-il, souriant de plus belle.
"Enchanté de même Alex." dis-je à mon tour. "Et bien, je m'excuse mais j'ai beaucoup de boulo avec mes cartons. Je dois vous laisser." avouais-je. C'est vrai, j'ai du boulo avec tout ces trucs dans mon salon.
"Dans ce cas, je ne vous retiens pas plus longtemps. Je vous souhaite bon courage. Au revoir Anna." sourit-il, faisant un signe de la main, en partant.
"Merci, au revoir Alex." réussis-je à dire avant qu'il n'entre dans son appartement au bout du couloir. Je déverouille mon portable et regarde l'heure : quinze heures seize. Je descends à ma voiture et prends le dernier carton qui s'avère être le plus lourd de tous. Je ferme le coffre, verouille la voiture et monte une nouvelle fois en direction de mon appartement.
Je souppire une fois le carton posé et les clefs accrochés. Je m'assois sur le canapé et contemple mon achat. "Bon et bien, mettons nous au boulot maintenant." dis-je parlant toute seule, comme à mon habitude. Et me voilà parti pour un rangement complet d'affaires.
Environ quatre heures plus tard, je termine enfin. Mon appartement est au moin trois fois plus rangé que ma chambre chez mes parents à Manchester. Je sourie, satisfaite quand mon portable vibre.
"Allo ?"
"Ma chérie, comment vas-tu ?" ma mère. Je suis au téléphonne avec ma mère et je n'avais absolument pas besoin de sa pour finir ma journée.
"Je vais bien maman. Et toi, comment te portes-tu ?" demandais-je.
"Je me la coule douce" rigole-t-elle. "Que fais-tu ?" demande-t-elle.
"Je viens de finir de ranger mes affaires. Je ne croyais pas en avoir autant." avouais-je. "C'est monstrueux."
"Oui, je sais." ricane-t-elle et je l'accompagne. "Comment est ton appartement ?"
"Il est correct. Grand et beau. Pas très cher et non loin de mon travail." dis-je, en regardant l'appartement.
"Ton travail ? Tu as eu le poste?" je peux voir le sourire sur ses lèvres. Ma mère sourit beaucoup et je crois que je tiens sa d'elle.
"Oui, j'ai eu la confirmation ce matin, avant d'aller chercher les clefs de l'appartement." un sourire illumine mon visage, réalisant que j'ai un "chez-moi" et un travail. Toutes les occasions réunis pour commencer une belle vie.
"Je suis si contente pour toi ! C'est fantastique Anna ! Je suis fière de toi ma chérie !" se réjouit-elle. C'est la première fois que ma mère me dit qu'elle est fière de moi.
"Merci maman." dis-je doucement, sous le choc.
"Et bien, je vais te laisser te reposer, tu dois être fatigué." dit-elle.
"Oui, je le suis. Bisous maman. A bientot."
"A bientot ma chérie." finit-elle avant de raccrocher. Je pose mon portable sur la table basse et me léve. Rendu dans la cuisine, je prends un paquet de patte, le posant sur le plan de travail. Je remplie une casserole d'eau et l'a met sur le feu. Au même moment, un toquement se fait entendre. Je tourne le bouton du gaz de sorte à ce qu'il soit sur "lent" et part en direction de la porte.
J'ouvre et tombe sur un jeune homme. Ce n'est pas Alex. Cette personne est grande. Des cheveux bouclé couleur chocolat et des yeux verts. Habillé de noir.
"Oui ?" dis-je d'une petite voix. Cet homme m'intimide.
"Et bien, salut. C'est toi la nouvelle ?" ce gars est insolent. Deja par sa prestance, les mains dans les poches et même pas un sourire. Et puis, par sa voix, elle est dur et sans sentiments.
"Oui c'est moi. Qui es-tu ?" demandais-je.
"Ton voisin visiblement." dit-il et je roule les yeux.
"J'ai cru remarquer mais merci pour l'info." dis-je, un ton sarcastique.
"Sa peut toujours servir, on ne sait jamais." il hausse les épaules.
"Ton nom ? Puis-je savoir ton nom ?"
"Le tiens d'abord." il joue avec moi et je ne n'aime pas sa. Surtout quand il est bientôt vingt heures et que de l'eau est sur le feu.
"Anna Camphbell." dis-je.
"Harry Styles." dit-il à son tour. Il lance un dernier regard, puis s'en va dans son apartement en face du mien. Je ferme la porte, assez étonné de cette rencontre mais me concentre bien vite en mettant les pattes dans l'eau chaude. Je me dirige vers le salon et allume la télé. Je met "Malcolm" et quand je revient dans la cuisine, les pattes sont cuites. Je verse alors le tout dans une passoir et me met quelques pattes dans une assiete. Je prend celle-ci et une fourchette puis me dirige vers le salon. Les heures passent et bientôt Morphée me tiens dans ses bras.

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Disgust
Romance"Harry, s'il te plait, laisse moi entrer!" supppliais-je à la porte de son appartement. Celà fait maintenant 5 fois que je cris comme une hystérique. "Harry je t'en pris! Je sais que tu ne m'aime pas et que tu ne veux pas me voir mais je t'en suppli...