Tome 1, un veritable cauchemar

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Non loin de Paris, enfaite loin de Paris, dans la campagne, vit mon père et moi. Nous avions une vie loin de toute civilisation, seules les animaux me tenaient compagnie. Je vivais dans une petite maison avec une cuisine qui servais aussi de salle a manger et de chambre pour mon père et moi je dormais dans une chambre, je m'estimais bien heureuse d'avoir cette chambre. Elle etait sombre lorsque l'on y entrait la porte grincais, un bruit strident, insuportable. Un plancher vieux grinçant à chaque petit pas, même la plus petite des souris arrivais toujours à faire hurler ce sol poussiéreux. Un fil de lumière traversait la pièce, l'éclairant tant bien que mal. Dans la pièce il y avait un lit, une petite comode, une chaise à bascule et des petites bougies disposées un peu partout. Les murs étaient vêtu d'une veste jaunâtre, melangé au blanc qui dominait avant. Il reste l'odeur, douce et spécial à la fois, malgré une chambre quelque peut repoussante, l'odeur du foin brute, melangé aux différentes fleures que je ramenais tous les soirs, ainsi qu'à l'odeur des vaches. Un parfum que j'aimais puisque je ne connaissais que lui.
Ma vie se resumais à la ferme, au travail, et au temps que je passais avec mon père. À l'âge de 10 ans, une nuit de printemps où je dormais paisiblement, je me souviens, je me souviendrais toujours. Je me souviens avoir entendu des pas un à un se diriger vers ma porte, chacun d'eux me faisais l'effet des frisson tant ils etaient lourd et décidé à venir vers moi, puis un bruit grave, la poignée qui bougeais toujours pour venir vers moi, qui se suivis d'un bruit aiguë tel un cris d'enfant, puis d'un bruit de pas de nouveau, plus il s'approchait de moi, plus mon coeur accelerais encore et encore. Jusqu'à ce que je reconnaisse l'odeur de l'alcool. Une présence était là debout, au dessus de mon lit, essayant de me calmer j'ai respiré profondement, fermé les yeux, et me suis imaginé qu'il ne sagissait que d'un cauchemars. Malheureusement, il etait toujours là ce n'était pas fini. J'avais deposé mon drap fin sur mon visage et le reste de mon corps, je ressentais son souffle fort puant l'alcool, sa presence, une silhouette immense. Plus le temps se prolongeait, plus il se raprochait, je le sentais, le coeur batant aussi vite qu'un lapin poursuivit par une renart en pleine chasse. Toujours persuadée que ce n'était qu'un cauchemars, je gardais les yeux fermés espérant me réveillé d'une seconde à l'autre. Puis je sentis une main, chaude, grande, lourde se poser sur le drap le remontant depuis mes pieds à mon petit ventre, cette main toujours chaude, même brulante se déposa sur mes pieds puis remontant la pente jusqu'à mon ventre avec délicatesse pour finalement se déposer sur ma petite culotte trouée. Je n'ai jamais sue pourquoi il y avait un trou a cette endroit, je compris pourquoi ce soir là. Ce soir là j'avais 10 ans et cetait la première fois que mon père me violait.

Un rêve presque réelOù les histoires vivent. Découvrez maintenant