À l'âge de mes 18 ans, le temps était bien passé, j'ai rencontré une amie qui habitait non loin de chez moi, les viols ont continué, ils ne s'agissait plus que d'une routine.
Ce jour là j'étais dans ma chambre sombre, seule une bougie illuminait comme elle pouvait les murs imprégné d'un vert, ressemblant à du vomi qui serait resté là durant une semaine. Ce soir mon père avant de se bourrer la gueule s'est endormi aussi vite qu'un gosse épuisé après une longue journée. Cette nuit là il ne m'a pas violé. J'étais dans ma chambre habillé d'un pantalon long avec un pull alors que je crevais de chaud en espérant qu'il ne viendrait pas, au bout de quelques heures il dormait finalement. Ce soir j'étais énervé et bien plus que cela. D'un saut je m'étais levée de mon lit avait balancé ce foutu drap, m'étais mise sur le plancher grinçant, il a fait tant de bruit que cela aurait réveillé n'importe qui mais non pas lui. J'avais marché de pied ferme jusqu'à ma porte qui menait à mon père, ce violeur. Plus je marchais plus la porte me paraissais lointaine, plus mes pas s'enfonçais dans le sol qui devenait de plus en plus clair grâce à la seule bougie que j'avais disposé. La poignée dans la main, je m'étais stoppée net. J'avais pris la bougie pour mieu m'éclairé. Mon visage était fermé, les lèvres crispé avec un sourrire en coin, les joues fermes, le nez retroussé, mes cernes creusés tel un faussée que les années avait creusé, les yeux ronds, les cheveux ebouriffés comme si une tornade les avait mélangés. Je me décidais enfin à ouvrir cette porte qui me faisait tant de mal, si peur. Une fois la porte ouverte enface de moi j'avais cet homme, mon père. D'une traite j'étais déjà à son lit il était répugnant, toujours la bougie en main je voyais chacun de ses traits, un visage ridé, un corps flasque, une bouteille d'alcool à la main, il était plein de sueurs. Alors j'ai saisi sa bouteille je l'ai reversé sur lui entièrement, ou du moin ce qu'il restait. J'étais tellement remontée que j'ai pris toutes les bouteilles d'alcool que j'ai trouvé et les est déversé sur lui. Quand j'ai fini de mettre la dernière bouteille, il s'est réveillé et j'ai lâché la bougie sur ses couilles. Je l'ai entendu crier à la mort, bougé sur son lit, je voyais sa chair, ses couilles, sa bite fondre, j'aurais pu rester des heures à le regarder souffrir, c'est mon seul regret, ma seule envie inachevé. Puis j'ai courru à l'extérieur de la maison pour ne pas brûlé avec elle. Je l'ai regardé brûlé jusqu'à ce que le feu s'éteigne.
C'était la première et dernière fois que je violais mon père.
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Un rêve presque réel
Misterio / SuspensoL'histoire d'une jeune fille, decouvrez son histoire faites la vivre à travers votre esprit