chapitre 9

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Moi : Kyaaaaaaaaaaa!!!

Ma voix raisonne dans ce couloir sombre ou je coure poursuivis par un monstre inconnu et un Olaf qui ris sur mon épaule joyeusement. Ce monstre a des griffes pointu, une langue très longue qui pourrait s'enrouler autour de ma taille deux fois, le visage d'un pervers, il coure à 4 pâte et peut même courir sur les murs, et le pire des pires c'est qu'il a la forme d'un humain mais poilu.

??? : Tu ne m'échappera pas!!!

Mais en plus il parle. Il étire sa langue et me lèche la joue gauche.

Moi : Kyaaaaaaaaaaa!!!

Pourquoi moi. Je pense que ça doit faire deux heures que je coure comme ça, si ça continue je vais pas tenir le coup et ce pervers va m'avoir. Une porte... Je suis sauver. Je l'ouvre, entre dedans et la claque d'un coup sec. Elle ce verrouille et je reste pièger dans cette pièce, c'est mieux que ce pervers... Je crois. Je me laisse glisser au sol et essais de reprendre ma respiration.

Moi : Olaf... Va dans le sac... On ai jamais trop prudent...

Il m'écoute et va dans le sac. Je me demande ou en sont les autres. Je ferme les yeux et relève la tête vers le plafond. Six heures plus tard j'ouvre les yeux, baille et m'étire. Je regarde au tour de moi. Il fait sombre et j'ai froid. Je me lève et cherche un interrupteur, ça prend quelques minutes mais j'arrive à le trouver. Lorsque la pièce s'éclaire, mes yeux prenne du temps à s'habituer à la lumière. Je cligne plusieurs fois des yeux, lorsque ma vue et habituer à la lumière, je regarde au tour de moi. Il y'a trois trappe au sol, sur le mur en face est écrit.
"Pour continuer ton chemin, choisi une trappe. De c'est trappe deux sont dangereux et une est calme."
Bon bah au moins c'est clair. Je récupère mes affaires et choisi la trappe de gauche, je regarde à l'intérieur et vois un échelle. J'inspire un grand coup et commence à descendre. À un moment je vois une grille d'aération, j'hésite un instant puis donne un coup de pied à la grille. Lorsque la voix est libre j'entre dedans et continue à quatre pattes. Plus j'avance, plus le chemin devient étroite et je commence à rampé. Au bout de cinq heures, j'arrive au bout du chemin et sort de cette bouche d'aération. Mais maladroite comme je suis, je tombe la tête la première au sol. Je suis un peu sonné et dans la chute, ma perruque c'est enlever. Après quelques secondes de récupération, je me relève et regarde au tour de moi. Génial... Je suis encore bloqué dans une pièce, mais cette foi ça ressemble à une chambre. Il y'a un lit, un bureau, un pot de fleurs et un cadre photo sans photo sur le bureau, un placard, un miroir, une horloge et une peluche géante d'ours rose. Je pose mon sac et ma perruque sur le lit et fouille partout dans la chambre, pour voir si il y'a une autre sortie que la porte fermée ou des caméra. Mais rien... Il y'a rien. À un moment je passe devant le miroir et me stop quand je vois mon reflet. Mes vêtements sont un peu déchiré, sûrement à cause du monstre, et ils sont aussi pleins de poussière. Je prends une de mes mèche de cheveux entre les doigts.

Moi : Je ferais peut être mieux de me changer...

Décidée, je m'assois sur le lit et fouille dans mon sac. Je prends un short noir, un tee-shirt bleu foncé et des gants gris.

PDV Extérieur

Dans une salle sombre où ce trouve plusieurs écran de surveillance, 1 n'est pas allumé.

??? : Monsieur ? On a trouvé la raison pour laquelle l'écran de la chambre de fille ne fonctionne pas.

??? : Oui, et qu'es que c'est ?

??? : Enfaite... Hmm... On a comme qui dirais oublié d'installer une caméra là-bas.

??? : Hmm... Ça va posé problème, mais on va faire avec.


FIN PDV extérieur

J'enlève d'abord mes gants et mets les gris. Puis j'enlève mes habille, je mets mon short noir et vérifie dans le miroir que mon bandage est bien en place et qu'elle tiens toujours.

Moi : Bon... Je crois que ça devrait aller.


Clic

C'était quoi ce bruit... Sûrement mon imagination. Je prends mon tee-shirt dans les mains, quand j'entends la porte derrière moi s'ouvrir. Surprise, je me retourne.

??? : Je vous dit qu'on peut sortir par ici.

??? : Oui mais... Et Tompa alors ?

??? : Gon... On a qu'à le laisser ici...


Devant moi, je vois les garçons. C'est à dire, Leolio, Kurapika, Gon et Kirua. Je rougis et des larmes perle au coins de mes yeux. Je serre mon t-shirt contre ma poitrine. Leolio me regarde puis ce met à rougir, Kirua met une main devant les yeux de Gon et Kurapika détourne le regards.

Leolio : Bonjour cher demoiselle, je me dois de vous dire que vous êtes fant-


Je ne le laisse même pas le temps à Leolio de finir sa phrase, que je crie. J'attrape le pot de fleurs et lui balance à la figure, mais il ce baisse et l'évite de peu. Et le pauvre Tompa qui venait de ce réveiller, reçois le pot de fleurs à la place de Leolio et repart pour un autre sommeil. Je continue de balancer des objets jusqu'à ce qu'il ferme la porte. Lorsque la porte ce ferme, je me laisse tomber au sol et pleur.

Moi : Je me sens humilié...


Et si c'était lui... et moi...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant