Chapitre 9: L'inconnu

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Chapitre 9: L'inconnu

[Narrateur]

Zarya accourra rapidement dans la plaine pour «avertir» Opale et son frère, quand elle trébucha dans une racine.

-Aie!, s'écria-t-elle.

En arrivant, elle se dit que finalement c'était une bonne chose, en étant blessée, la jeune fille donnerait l'impression qu'un accident c'était vraiment produit.

Si son plan marchait, tout serait parfait.

-Darius, Opale! Aidez-moi, Sam est dans les bois, ça s'est passé trop vite, je crois qu'il est inconscient..., cria la Mage.

L'illusion était merveilleuse, car Zarya boitait un peu, juste assez pour que ça soit crédible.

-QUOI?, hurla Opale. Tu l'as laissé seul? Mais qu'est ce qui t'a pris? Non mais tu es stupide!

Elle débita un tas d'insulte du genre jusqu'à l'endroit où se trouvait Sam.

L'hystérique secoua le jeune homme pour qu'il se réveille. Avec un peu trop de force, semblait-il, car il bondit sur son amie.

-Opale! Tu es folle, par Pendora! Je ne sais même pas se que je fais ici et tu me réveilles en m'agitant comme une poupée de chiffon!

-C'est elle, Sam! Cette petite crétine t'a laissé tout seul alors que tu avais perdu conscience..., tenta-t-elle.

-Tais-toi, la coupa celui-ci en portant son regard vers la sœur de Darius.

Il poussa la jeune fille de ses genou s'empressa d'aller aux côté de Zarya pour observer sa blessure. Après quelque seconde, Sam se redressa de toute sa hauteur, et pivota vers Opale.

Son visage, d'habitude si chaleureux, était rouge pour cause sa rage, mais ses traits étaient glacials. Il semblait plus menacent que jamais.

-Tu es tellement imbue de ma personne que tu n'as pas remarqué de ma Zarya tenait à peine debout. Elle a déjà perdu beaucoup de sang.

La Mage recula de quelques pas jusqu'à être acculé à arbre. Elle avait peur.

C'est à ce moment que l'érudite sembla être prise dans un champ électrique. Elle se tortillait, son visage crispé sur un rictus de terreur et de douleur.

-SAM!, tonna Zarya, enragée. De quel droit tu tortures Opale?, Voyant que ses mots ne faisaient aucun effet, elle mena le geste à la parole.

La jeune femme contra la lawcrista du jeune homme et lui assena une gifle monumentale, pour aller vers son «amie».

-Je... je suis désolé... je n'accepte juste pas qu'on te fasse du mal... murmura-t-il, anéanti.

-Moi je n'accepte pas la violence, Sam. C'est inacceptable. Le temps que tu as pris pour agresser Opale, tu aurais pu me soigner. Excuse-toi à Opale, maintenant. Par après tu soigneras ses blessures.

-Et toi? Les tiennes sont bien pires que les siennes!

-Au cas où tu n'aurais pas compris, je suis plus puissante que toi, donc je peux me soigner moi-même.

-Ah.

-Exécution.

Sam s'empressa d'exécuter ses ordres.

[Narrateur Cédril]

Je courais. Je courais à ma perte, mais se n'était pas grave, car elle serait là.

la sua metà... ma moitié, en italien. Pour elle, j'affronterais tout les dangers. Je ne l'avais vue qu'en rêve, mais je la savais magnifique.

Je la sauverais bientôt, elle et son frère.

Pour vu que j'arrive à temps... je présentais que le combat serais difficile, mais je la sortirais des griffes de ce salaud, de gré ou de force.

Je me savais charmant, avec mes cheveux bruns très pâle, tirant sur gris, avec des mèches blanches, ici et la. Mes cheveux n'étaient pas ainsi à cause de la vieillesse, mais bien à cause de mon don. De ma lawcrista. Ou dans ma langue natale, magia, magie, même si ce n'est pas le terme exact.

Ma mère m'avait appris, avant de mourir, que mes cheveux deviendraient de plus en plus gris, pour devenir blancs.

Mon teint était blanc comme neige, et je ne craignais nullement le soleil.

En contraste à l'ensemble, mes yeux étaient.... noirs. Noirs au complet. Un noir ténébreux qui n'avait rien à avoir avec le noir de ma tunique défraichie. Si elle ne tombait pas sous mon charme, j'userais de mon talent de séduction, si, et je dis bien si, je ne perds pas la vie ce soir. Se qui est très probable.

Sans me vanter, ma musculature est plutôt développée. Je gardais une taille mince, grâce à mon entrainement. Mon corps était souple et je maitrisais autant le karaté, que les combats à l'épée.

J'espère seulement que je suffirai à ma princesse....

[Narrateur]

Dans la pénombre de la nuit, un événement qui marquerait à tout jamais l'univers se tramait.

Les démons d'outre tombes sortaient de leur cachette pour voir la suite, car ce soir, une soirée de pleine lune, tout allait se décider.

Le règne du panthéon de lumière s'achèverait-il? Voilà la question. Le seul démon qui restait chez lui était Zandia, la démone de la mort sans douleur. Elle était la seule à avoir un semblant de cœur. Même si la jeune diablesse n'était pas sortie de sa demeure, elle suivait le parcourt des jumeaux, d'Opale et bien sur de Sam.

Elle observait attentivement car elle s'était prise d'affection pour Darius.

Malgré le fait qu'il n'était pas de son côté, Zandia avait pris la décision de l'aider, lui et sa sœur, si nécessaire.

Son père serait mécontent, après tout il était le chef du palier des démons de la mort, mais c'était son choix et il ne s'y opposerait pas. Soudain, un détail attira son attention. Elle sentait une présence forte, très forte, autre que la Mage Nova.

Oh non, un demi-dieu approchait!

La Malédiction de la MagicienneOù les histoires vivent. Découvrez maintenant