P.D.V. Jin:
Je marche tranquillement dans les long et sinueux mais très chaleureux couloirs du manoir. Mes six "protecteurs" ont décidé de vivre avec moi dans cette bâtisse. C'est confortable et peut-être un peu trop raffiné pour un simple humain comme moi mais j'apprécie tout de même. Il y a une multitude de salon, de chambres et autres pièces aux multiples fonctions mais nous en utilisons que très peu. Mes endroits favoris sont ma chambre, spacieuse et confortable, décoré de touche de rose, la salle de jeux, remplie par une multitude de coussins et de poofs bien moelleux ainsi que beaucoup de consoles différentes accompagné de leur jeux et d'une immense télé, je crois qu'elle peut servir de mini écran de cinéma, la salle à manger, grande et chaleureuse, j'apprécie y manger, et enfin, la cuisine, bien équipé et moderne, je m'y plaît et y prépare de nombreux plats délicieux selon les six autres.
Alors que je m'apprêtais à entrer dans mon petit salon adoré, j'aperçois, au détour d'un couloir, une ombre. Sans une hésitation, je m'approche et regarde qui cela peut-il bien être. Quand mon regard se pose sur la silhouette, elle se retourne, me fixant de ses yeux jaune et me souris doucement.
"Quelle plaisir de te voir, Jin."
"D-de même mon maître...", répondis-je, légèrement timide en sa présence.
Il rit légèrement.
"Combien de fois faudra-t-il que je te le dise ? Appelle-moi Namjoon. Je ne suis pas ton maître et même si un jour je l'ai été, c'est pareil."
Je lui souris doucement.
"Désolé Nam."
Il rit à son surnom.
"Tu ne m'écoutera donc jamais ?"
Je lui tire la langue, un air triomphant sur mon visage puis repart vers le petit salon. Un doux sourire vient se former sur mon visage en repensant à lui. Toujours aussi gentil avec moi, hein ? Je ne le comprendrais sûrement jamais.
VOUS LISEZ
The Supreme Sin (AllJin)
FanfictionJin, relégué au rend de simple humain, a vu sa vie détruite par de fausses accusations. Souffrances après souffrances, enchaînant les coups du sort, il finit par craquer et vouloir mettre un terme à ses tristes jours. Alors qu'il s'apprêtait à faire...