« M.ANDERSON
rédacteur en chef»
Voilà ce qu'étais à présent grave sur une pancarte en plastique vert accroché à mon bureau. J'avais décroché l'emploie rêver il y a quelque mois, et voilà qu'enfin il grave ce foutu bout de plastique. Avant d'ouvrir l'imposante porte où se trouvais mon bureau, je contemplait la gravure. Elle était vraiment simple, avec des lettres assez bien lisible. Mon assistante, Marie, a accouru jusque dans mes pattes. Qu'est-ce qu'elle vient faire ici, encore ?
« M.Anderson, je vous pris de bien vouloir m'excuser, mais je voulais vous dire que le magazine Leyre a encore publié un article. Il risque de faire couler notre magazine. »
-Marie, qu'est-ce que j'en ai à foutre que tu me dises ça ? Suffie que tu me ramène l'exemplaire du magazine Leyre, et je verrais quoi faire. Maintenant, rend toi utile et va me faire un café.
Marie s'est empressé d'aller me chercher un café. Les bureaux nombreux se trouvait en face de moi, je suis l'un des rares chanceux à avoir mon propre bureau, les autres travaillent sur des surface plane. J'ai ouvert la porte de mon bureau. A la vu du bordel mis dans mon bureau, j'ai sursauter. Les tableaux n'etaient même plus droit, les papiers volaient, un vrai foutoir. J'ai ranger quelques minutes, lorsque Marie m'a de nouveau interrompu.
« Qu'est-ce que tu veux ? »
-Euh... Je vous apporte votre café, ainsi que le nouveau magazine Leyre M.Anderson.
-très bien, degerpisser maintenant.
Marie s'est exécuté, et moi je me suis assis confortablement dans mon fauteuil. J'ai regarder la première de couverture de ce magazine... j'ai lu les premiers mots, et j'ai directement remarqué ce qui les démarquait. Il utilise des expressions de jeunes pour attirer du jeune publics, mais il y a aussi des articles pour adultes. Donc, ce magazine est ouvert à tous. Pour nous démarquer sur le marché, je pense que l'idéal serait de renouvelé notre magazine.
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Je suis rentré chez moi, dans ma sublime villa à Nice, à pas d'heure, puisque j'ai bossé sur un projet « renouvellement de magazine » toute l'après midi. Rentrer m'a fait un bien fou.
J'adore mon travail, mais je déteste ma vie. J'ai ni femme, ni enfant, et j'ai bientôt 37 ans. J'ai déposé ma mallette de travail, lorsque mon téléphone a sonné.
C'était Charles, mon ami d'enfance.
« Allô ? Matthew ? »
-Ouais Charles c'est moi, ça va ?
-Oui, ça va. Tu fais quoi de beau ce soir ?
-Bah j'en sais trop rien.
Charles s'est tu pendant quelques secondes puis a enchaîner.
-Mais on est le 14 juillet, tu dois avoir un feu d'artifice dans ta ville rassure moi.
-Ouais, mais à quoi bon...
-Écoute Matthew t'es sans arrêt en train de te morfondre sur ta vie juste parce que t'es célibataire, tu n'as que la trentaine c'est pas grave on s'en tape, sort merde, tu bosses et tu dors, tu veux pas changer un peu ?
J'ai réfléchis. Il avait raison ce con de Charles.
-Ouais... je vais sortir.
J'ai raccroché après une bonne demi heure de conversations, ça n'a mené à rien. Je me suis pas changé je suis sortie en chemise bleu, pantalon noir style costards et mes claquettes préférées. Attends, des claquettes ? Oh, puis merde.
J'ai éteins les lumières, et j'ai fermé la porte à clé. J'ai marché longtemps en suivant la fanfare, lorsque j'ai aperçu une beauté, marchant à côté de moi, accompagné de sa fille. Cette jolie petite blonde, sourire jusqu'au oreille, les yeux pétillants, tenait la main de ça fille. Elle étaient jeune toute les deux, je dirais environ 15ans pour la p'tite et 37ans pour la mere. Mon coeur s'emballait à chaque fois qu'elle rigolait aux éclats.
La fanfare s'est arrêté et la petite est venu me parler. Elle m'a regardé un peu de travers. A en juger de par sa tenu, ça mère doit être fortuné. Être habillé de marque comme ça, c'est pas donné à tout le monde. Elle a l'air prétentieuse.
« Pourquoi t'arrête pas de mater ma mère ? Elle te plaît ? »
J'ai fusiller du regard cette gamine, et j'ai rétorqué
« Ouais elle est belle mais retourne la voir. T'es pas sence parler au inconnu.
-Eh bien, vous m'êtes plus inconnu, Matthew. »
