Messagerie

215 6 1
                                    

Vous avez 9 nouveaux messages.

"Salut Harry, c'est moi, Louis. J'espère que tu vas bien là où tu te trouves. J'attends ton appel avec impatience, ta voix me manque ! Contacte moi dès que tu peux mon chéri ! Je t'aime."

"Coucou mon mouton préféré ! Aujourd'hui a été une dure journée. J'ai pas arrêté de penser à toi tout du long. Freddie m'a demandé où était Papa. Il grandit de jour en jour, c'est fou ! J'espère que tout ce passe bien de ton côté, je te fais de gros bisous."

"Hi darling ! Tu dois encore dormir, hein ? N'oublie pas de m'appeler une fois que Morphée t'aura libéré. Freddie va bien, malgré ton départ. Il veut te revoir à tout prix. Ce petit bout de choux me fait craquer. Je suis allé te chercher des fleurs ce matin, je suis sûr que tu vas les adorer. Mon amour, j'ai tellement envie de te voir, de t'entendre, de te toucher ! Ton absence m'est insupportable... Reviens vite, je te ferai ton plat préféré, tu sais, celui que tu me préparais quand on était en collocation ! Ciao mon amour."

"Freddie refuse de manger si tu ne reviens pas. Il est têtu, tout comme toi ! C'est dur de s'occuper seul de lui, heureusement que je peux te parler via ta messagerie, ça m'aide à tenir. J'ai l'impression que, malgré ton départ, une petite part reste ici, à travers mon téléphone. D'ailleurs, tu ne m'as toujours pas appelé. Peut-être que tu ne reçois pas les appels de là où tu es. Ah, mon pauvre, ça doit être dur sans réseau... En tout cas, appelle moi dès que tu peux. Tu sais que tu ne me déranges pas !"

"Harry... Reviens, s'il te plaît. Je t'en pris, tu me manques plus que tout. Freddie a crier quand je lui ai confisquer sa glace. Dans ses pleures, j'ai entendu entre deux sanglots "je veux voir Papa". Ces mots m'ont brisé le cœur lorsqu'ils sont sorti de la bouche de cet enfant innocent. Il souffre de ton absence et moi aussi. Je veux te serrer contre moi, je veux sentir tes lèvres se poser sur les miennes, je veux t'avoir à mes côtés lorsque je me réveille. Je t'aime tellement... Voilà trois mois que tu es parti et je n'ai aucune nouvelle. Je t'en supplie, réponds moi !"

"Je t'aime plus que tout, mon cœur. Réponds moi putain ! Je peux plus supporter ça. Pourquoi me fais tu ça ? Je pleure tous les soirs depuis que tu n'es plus là. Je t'en supplie, rentre à la maison, au près de ton fils chéri et de ton mari adoré. Chaque jour me donne l'impression d'un coup de poignard sur une blessure sur laquelle on s'est déjà bien trop acharné."

"Tu te souviens de ce mot que tu m'as laissé quand tu es parti ? Je le connais par cœur à présent, tant je l'ai lu et relu. "Je dois aller au supermarché, mon chéri, il nous manque des tomates pour la salade, bisou !". Tu l'avais écrit sur un simple post it et collé sur le frigo. C'était la dernière trace de ta présence. Ta belle écriture pour me dire cette chose banale, c'est le souvenir le plus récent que j'ai de toi. Je t'aime si fort Harry, tu ne peux pas savoir. Ça me fait du bien de te le dire. Je t'aime, je t'aime, je t'aime ! Tu es le meilleur des copains qu'on puisse avoir. Je t'aime tellement ! C'est con de répéter ça en boucle mais c'est sûrement la chose la plus honnête que je puisse te dire."

"Sale con ! Je te déteste, tu es la pire des choses qui me soit arrivée ! Tu pars comme ça et tu ne donnes aucune nouvelle ! Tu sais que ça me brise le cœur, alors arrête ! Reviens putain ! Je t'aime tellement... Tu me saoules. Je sais plus où je vais sans toi. Freddie ne cesse de me demander quand est-ce que tu vas revenir, je l'entends parler à ses peluches et leur dire qu'il veut son Papa, mais ça, tu t'en fiches, hein ? Tu es un monstre, un idiot, un connard... Et l'homme que j'aime, alors je t'en supplie reviens, j'ai besoin de toi. Je ne vais plus tenir. J'ai besoin de ta présence, je ne peux plus m'occuper de Freddie en retenant constamment mes larmes, il sait ce que je ressens, il est intelligent. Apparemment, tu n'en as rien à foutre de ton enfant, comme de tout d'ailleurs. Je te hais. S'il te plaît, réponds moi... Je t'aime."

" Je suis ridicule à t'appeler tout le temps tout en sachant que je tomberai sur ta messagerie, je sais. J'ai demandé à ce qu'on ne retire pas ton numéro rien que pour pouvoir te contacter. Je te laisse ces mots comme si tu pouvais les entendre, mais c'est faux. Je me mens à moi-même avec ces messages stupides. Freddie s'est battu aujourd'hui. Il est dévasté, alors il doit bien relâcher sa colère sur quelqu'un. À chacun sa manière de faire son deuil. J'ai recommencé à me droguer, putain... Je sais que tu détestes que je fasse ça, mais en l'occurrence, c'est de ta faute. Tu me manques Harry. Je suis perdu sans toi. Tu te me souviens de notre première rencontre à XFactor ? C'était magique. On a bien grandi depuis ce jour-là. On a vécu une aventure géniale, mais il a fallu que ce connard gâche tout avec sa voiture de merde. Harry, je dis que je t'aime parce que c'est trop dur de dire que je t'aimais. Tu es... Étais mon âme sœur, mon copain, mon mari, le père de mon fils et la personne avec qui je partageais ma vie, mais je pense que je m'enfonce à cause de ces messages. Au revoir... Ou plutôt à Dieu, Harry Edward Styles, l'homme qui aura toujours une place dans mon cœur. Je n'ai pas envie de décrocher, parce que je me suis juré que c'est la dernière fois que je t'appelais, la dernière fois que je te tutoyais comme si tu étais capable de m'entendre. J'ai l'impression de faire mourir ta conscience en mettant fin à ce message... Bref, Freddie tire mon pull parce qu'il a faim, il faut que je te laisse... Je t'aime... "

Larry/Zarry : OSOù les histoires vivent. Découvrez maintenant