Le Voyageur Des Mondes

Le Voyageur (Chapitre 5)

7 Novembre 2024 (Date et année réelle inconnue)

Je venais de mettre téléporté de nouveau.

Un nouveau monde, de nouveaux habitants, de nouvelles traditions avec bien évidement de nouvelles surprises. Ces voyages m'angoissaient à chaque fois, parce qu'elles avaient toujours leurs lots de terreur, cachés au plus creux de leurs bonheurs.

Cette fois-ci, ils ne se cachaient pas. C'était eux ou rien. L'enfer ou le néant, mais les deux étaient les mêmes. En guerre, voilà où se trouvait ce monde. Il semblait si proche du mien, à des dizaines d'années de lui ressembler.

Gratte-ciels effondrés, rues dévastées et maison barricadées. Tout avait été effacé. Des mondes de dévastation, j'en avais vues, et connues. Des mois durant je devais affronter l'eau glacé des mers sans fin, les cauchemars vivants de la forêt derrière les champs de blé ou même la dure vérité d'un futur qui aurait très bien pu être le mien, et celui de plusieurs milliards d'autres personnes qui restaient dans l'ignorance.

Là où on m'aurait dit que j'avais de la chance, je leur aurais maintenant dis le contraire. En ma possession, je traînais cette chose, s'amusant avec ma vie comme on le ferait avec une balance. A-t-elle une conscience? Est-elle une arme? Quel est son histoire? Son secret?

Mes questions restaient toujours sans réponse. Un jour je saurai pourquoi je fais tout ça. Pourquoi j'écris encore et encore ces histoires auxquelles j'ai dû assister. Comment tout ceci peut-il bien exister. Être là, sans que l'on est l'impression que c'est le cas.

Ce monde ne semblait néanmoins pas avoir de nom. Comme pour des centaines d'autres je lui en ferai don.

"The Search"

Le jour même de mon arrivé, j'avais constaté que la guerre semblait être entre deux espèces, et non deux peuples. Les batailles et les exterminations se faisaient par une sorte de civilisation extra-terrestre, contre nous, les humains. Aucun futur ne semblait nous attendre sous cette terre.

Longtemps nous étions enfermés dans des espaces étroits, surveillés de la tête au pied par ces créatures semi-vivantes, semi-robotiques. Des cyborgs, voilà ce qu'elles étaient. Mesurant environ 2 mètres de hauteur, c'était sans pitié, que ces soldats venus de loin, nous tuaient par dizaines. Laissant ainsi les défunts corps pourrir au froid comme de simples ordures.

Le coeur du problèmes était justement ces armes de guerres, qui, visiblement n'avaient aucune pensée rationnelle. Je ne saurais dire si elles obéissaient à quoi que ce soit, mais, accroché à leur bras droit, ces zombies avaient un semblant de bracelet de communication.

Ceux-ci produisaient des battements de coeur insupportables. Chaque seconde qui passait, nous devions les écouter avec martyre, peur qu'ils ne deviennent véritables. Ces moments-là signifiaient la mort, parce qu'une rangée complète d'êtres humains passaient sous la guillotine.

Au début, c'était un examen. Cette étape était passé par une sous espèce ou tout simplement l'invention technologique des scientifiques de leur demeure. Les bourreaux étant seulement des machines, on ne pouvait les déjouer. Ils se caractérisaient comme des robots de trois mètres, composés de différents annaux métalliques. Sur chacune de leur surface, des systèmes de détection semblaient être placés. Le simple mouvement était prévu. Leurs yeux avaient été créés pour que l'on est l'impression qu'une seule action, avait été vue, bien des secondes avant.