🌹parti 1🌹

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Hi everybody (Babila en haut)

A vrai dire je ne sais pas comment tous cela a commencer chaque jour de ma vie a étais un enfer, mais celui la, a étais l'élèment déclencheur de ma nouvelle vie .

Je me suis levée part des voix dont deux que je ne connaissais  pas et d'une familière

Je me dirigea vers les voix imposantes  même roque à la fois masculine.

C'était deux hommes policier et mon père celui qui parlait à mon père était grand muscler avec le visage lisse on pouvais remarquer qu'il se raser sa barbe il avait les yeux noir l'autre étais plus petit plus fin blond avec une barbe de deux ou trois jours il étais moins imposant contrairement à son collègue.

Il me fixa et la conversation entre mon père et le policier s'arrêta

Il y'a eu un moment de silence je décide de taire se silence en commençons à perler la première. Ma voix aiguë enfantine qui montra que je venais à peine de me réveiller.

- il se passe quoi ?

Au moment où mon père aller me répondre le policier prie une langueur d'avance devant lui et lui coupa dans son élans

- vous êtes expulsés vous deviez partir de l'appartement d'ici 24h
- pardon ?! Et pour quelle motif

Ma voix enfantine du matin c'était littéralement changer en une voix d'une femme surprise mais à la fois énervé. 

- le loyer n'est pas payer
- n'est pas payez vous dites ?

Je fixa mon père durant instant mes yeux se remplissaient de haine de colère mais aussi de rage

- impossible j'ai travaille j'ai donner l'argent à mon père pour qu'il puisse payer le loyer ? Comment se fait il hein ?!

- écoutez moi demoiselles je ne sais pas ce qu'il se passe entre vous et votre père mais tout se que je sais c'est que  vous deviez parti de cette appartement avant 24h

Dit il tout en s'apparenchant de moi

Je les regarder de haut en bah je les tchiper de toute mes forces et je me suis casser de la ( j'ai écrit tchiper -ER cars je considère sa comme un verbe)

J'ai claqué la porte tellement fort c'était ma façon à moi de dire à quelle point j'étais énervée contre mon père mon travaille acharner les heures sup tous sa pour rien !

Je fis mon sac en de spie je mis que l'essentiel je me suis changer vite fait une toilette vite fait et je me suis barre sans dire aurevoir à mon père et sans même le regarder.

En y pensant de plus près ce gestes étais tellement immature et puéril, à présent je n'avais aucun endroit où aller. J'étais complètement à la rue sans emploi et sans chez qui loger. Cela fessais seulement quels que mois que j'étais dans cette nouvelle ville alors je connaisse personne et je ne pouvais pas retourné à Grenoble et puis même je n'avais pas vraiment d'amie et surtout les moyens pour m'y rendre. Mes vrais amies vivaient en Amérique alors so compliquer pour yaller.

Je me d'érigé vers le bloc d'en face les gars en France on appelle sa des teneur de mur TDM pour moi c'était des Dickheads ou wonkers c'est comme sa que je les nommer en Amérique.

Je me d'érigée vers le bâtiment de Moussa un sénégalais pure. Grand, muscle, chauve et sa lui va tellement bien, lèvre bien pulpeuse, regard intimidant yeux marron et un sourire de malade.

Il s'approcha de moi et fronça les sourcils. Des le bon matin il étais déjà énervé alors que je n'avais rien fait

-tu fais quoi ici ?
-te demander un service

Il me tenais fort le bras je pensais que j'allai recevoir des coups de sa parts. Mais Moussa et le genre de gars hyper gentil et à ne pas lever la main sur les femmes.

-lequel ?
-j'ai besoin de travail
- tu vas pas te mettre à faire la pute ?
- nan mais tu est fou

Un gars se met à crier

- Eh Moussa elle a l'aire bonne ta pute avec ses bells fesses fait la tournée un peut

-quel genre de Taf ?
- femme de ménage tu m'as pas dit que ton grand patron en chercher une ?
- si mais pourquoi..t

Je lui coupa la parole parce que je savais déjà la suite de sa phrase et moi je suis percée

-j'ai pas de travail je suis à la rue

Il eut un moment de hésitation il me fixa longtemps je lui fait un petit sourire pour qu'il accepte.

- tiens les clés de chez moi attend moi j'arrive fais comme chez toi tu connais déjà.

Il me donna les clés de chez lui son visage étais devenu doux. Il me prit dans les bras quels que seconde et me m'embrassa sur le front.

Je me d'érigea ver son bloc ( ou il ya tous les gars). Il me matter rien que je les regarder de travers un par un. Mais comme si tous cela n'étais pas suffisant il a fallut que un met une main.

J'ai attrapée sa main, je lui est tordue son bras un coup de genou dans les côtes puis dans les jambes et il tomba dans coups sec. Au moment où j'allais pour lui donner le coup fatal dans sa tête Moussa cria.

Lui: LAISSE LE ! Il a compris

Je regarda Moussa je regarda se pauvre type je jeta un dernier coup d'œil sur Moussa, il me lança un regard du style "je vais te butter toi à pas m'obéir." Il pensais que sa me fessais peur je lâcha l'autre mongole sur le sol avant de monter dans l'appartement de Moussa.

Je m'installai tranquillement dans l'appart. Oui je savais me battre, je suis du style nerveuse et qui peut facilement venir au main.

Je m'allongez sur le canapé tel une merde et repenser comment j'ai pue en arrive là ?














Suite

Babila et le mafieux Où les histoires vivent. Découvrez maintenant