Chapitre un
RΩSΔLIΔJe me lève péniblement du tas de feuilles sur lequel mon corps reposait il y a quelques instants encore.
Ma tête me fait mal et ma vision est trouble. Je la tiens d'une main et essaye de reprendre doucement mes esprits. Mon corps et lourd, qu'est ce qu'il s'est passer hier ? Quelques souvenirs me reviennent petit à petit en tête. J'étais en mission... oui c'est cela ! Je devais récupérer une petite fortune auprès d'un garde du palais royale, et je devais rapporter la malette au mafieux libanais Najar. Je lui ai remis puis j'ai décider d'aller faire un tour en forêt, mais, je n'ai aucun souvenir de mettre allonger sur un tas de feuilles mortes. J'observe les alentours et me lève péniblement du parterre ou était disposé mon corps il y a quelques secondes a peine. J'inspire l'air frais qui s'offre à moi. Un petit soleil transverse les arbres et des couleurs rosées teintes le ciel de si bon matin. Je m'étire seule parmi les pénombres ombres des arbres. Mes pieds trouvent leurs repèrent et tracent la route jusqu'à la sortie, dans ce labyrinthe qui me paraît être sans fin.
J'ai l'esprit embrumée pars toutes les questions qui me traversent datant de la veille. Après une bonne heure de marche, j'entre dans une maisonnette au pieds d'une montagne, éloigné de la ville.-Je suis de retour !
Annonçais-je d'une voix forte.Un silence s'installa suivie de quelques bruits provenant du salon. Je m'avance vers la pièce concernée.
J'arque un sourcil et pousse un petit cri en apercevant la personne qui se tien devant moi.-Bonjour Rosa, ça fait longtemps n'est-ce pas ?
L'individu que je redoutais tant de revoir avait prononcé ces paroles si simplement que je m'en offusque presque.-Allister ? Mais qu'est-ce que tu fou là ?
Sa réaction ne se fait pas attendre. Face à mon visage étonné, un petit rictus se forme aux coins de ses lèvres.
-J'ai une mission pour toi, une nouvelle. Enfaite, non, c'est une demande.
Je m'assoie sur un fauteuil à coter du sien.-Vas-droit au but je te prie.
Son sourire s'évapore à l'entente de la phrase qui avait franchie la barrière de mes lèvres.
-Je veux réformer les legendary sins.
Un gloussement se fit entendre derrière mon dos, je pivote sur moi même pour faire face à Alondra.
-Tu ne me présente pas rosa ?
Demande-elle d'un ton sarcastique.-Je ne pense pas que tu en ai besoin.
Elle s'assoit sur le canapé de soie qui fait face aux deux fauteuils. Son regard persistant ne cesse de fixer allister.
-Alors comme ça, tu veux réformer notre équipe ? Pourquoi tu n'est pas venue m'en parler, tu sais bien que j'habite avec rosa.
Elle le fusible du regard et lui, ne détourne pas les yeux.-Oui, je veux réformer ce qui a été détruit pars le temps.
Elle se lève brusquement et s'avance d'un pas presser vers lui.
-Ce n'est pas le temps qui a pris notre complicité ! C'est les descendant qui nous ont tout pris et tu le sais !
Elle lui crie littéralement dessus mais comme à son habitude, il ne bouge pas d'un poil et continue son regard persistant sur Alondra.-Du calme tout les deux ! Tu peut nous expliquer les raisons qui t'ont pousser à revenir vers nous après quatre ans Allister ? Revenir du passé sans aucune explication ce serait vraiment culotté de ta part et je me trompe si je puis dire que tu t'en doute.
Il détacha ses yeux de ceux de la jolie brune pour enfin les plonger dans les miens, bleus comme les cieux.
Alondra s'assoit sur l'accoudoir du fauteuil dans lequel notre chef s'était assis.-En effet. Tu te rappelle de la fois où je t'ai dit que nous aurons notre révolution ? Il se tourne a nouveau vers Alondra et l'interroge du regard. Aranel es dehors, j'ai commencer pars lui parceque je sais qu'il a été très attacher à notre petit groupe de sept. Et mine de rien, ont comptais tous beaucoup pour lui. Je ferais tout pour que vous acceptez, je veux tous nous réunir et à part si l'un d'entre vous es décédé, vous n'avez aucune raison de refuser ma proposition.
Après son monologue, il avait continuer de fixer la carrure de Alondra qui s'était désormais tournée face au mur. Quelques larmes perles au coins de ses yeux verts comme de la jade. Elle descend de l'accoudoir pour se diriger vers la porte.
J'ai clairement pus distinguer que ces larmes qui menacent de coulées quelques instants à peine, s'étaient désormais écrasées sur ses lèvres tremblotantes.
Avant de sortir de la demeure, elle ajouta ces quelques mots."Alors fait comme si j'étais morte, ça ne changeras pas grande chose pour toi"
Et calmement elle s'engouffra sous les rayons du soleil.