'' 𝕽𝖊𝖈𝖔𝖓𝖓𝖊𝖝𝖎𝖔𝖓 𝖕𝖗𝖎𝖒𝖔𝖗𝖉𝖎𝖆𝖑𝖊"
Du haut d'un arbre majestueux,
Nous pouvons percevoir, tel dans un miroir,
Ce chemin si sinueux, aux bords parfois anguleux,
Et un appel de phare qu'est la lueur de la victoire:
Le feu ardent d'un cœur vibrant,
Qui dans notre oisive contemplation,
Nous murmure d'un souffle aimant,
D'emprunter le sentier de notre mission
En tant qu'âmes libres et vagabondes,
Nous savons que les choix abondent
Lorsque l'on sait suivre son cœur avec ferveur,
Tel un enfant suit ses parents, sans l'entrave d'une peur.
Avançons tête levée, vers ces décors étrangers,
Aussi intimidants qu'effrayants,
Car nos peurs, illusions de grandeurs,
Nous tiennent dévots d'un monde de noirceur
Comme possédés et adhérents...
-𝕳.𝕳.𝕹.
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𝕱𝖊𝖒𝖒𝖊 𝖋𝖆𝖙𝖆𝖑𝖊
La femme fatale est prisonnière de ses attributs de guerrière,
elle élude les regards éphémères et vagabonds,
qui sont l'étreinte d'une prison.
Troublant des foules entières, en projetant sa lumière,
Son visage éthéré témoigne de sa grande beauté.
Elle incarne la perfection à l'image du papillon,
qui a déployé ses ailes lors de son ascension.
Son originalité est le fruit de leurs projections mentales;
elle n'est en vérité que de houleuses transmutations de la fractale,
une idyllique nébuleuse organique...
Son âme prévoyait de se réincarner, afin d"aider l'humanité;
qui en sa douce défaillance, éperdait de sa brillance
intellectuelle et émotionnelle...
Elle ne pu s'empêcher, de s'apitoyer sur les enfants de Terre Mère,
qui lui annonça qu'il était l'heure d'une nouvelle Ère.
Ce fut donc le début d'un voyage initiatique qu'est la vie;
ou l'incarnation d'une incantation...
Éternelle éphémère, elle incarne la figure lunaire,
celle de l'amazone solaire, brandissant son arc pour conquérir les cœurs,
d'une flèche fulgurante à la saveur de ferveur...
Sa parole est sacrée, souvenirs du passé et reflet de la réalité;
savoir basique devenu atypique...
Cette affable messagère, n'est point une tortionnaire, bien au contraire;
elle se battra toujours pour ses frères...
Écoutons la, elle incarne la sagesse, dans ses visions et dans ses gestes,
sa voix mélodieuse est porteuse de la parole ancestrale,
parallèle du monde astral...
-𝕳.𝕳.𝕹.
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𝕻𝖍ô𝖑𝖑𝖞𝖆𝖒𝖔𝖚𝖗 ?
J'y ai gouté, à cet amour,
Aussi doux que le velours,
Aussi palpable que la lumière,
Je le perçois via mes prières...
Il a perforé mon cœur de sa délicieuse saveur;
Celle de l'envie de la vie,
Ô aidez moi à faire un choix
Car ce n'est pas lui mais c'est toi
Que je désire accueillir en mon temple
Car oui je te l'avoue je te contemple
Tu es une esquisse si exquise
Puis-je tenter, de te toucher ?
En espérant que mes mots résonnent
En ta magnifique personne ?
Si tel est le cas, dis le moi,
Avant que s'évapore ma foi...
Je me languis de savoir, mais je perds espoir
Tu es à la fois si touchante et intouchable...
Tant de distance nous sépare,
Ce problème est-il illusoire ?
Tu m'as dit être dégoutée des hommes
Mais qu'en est-il des femmes ?
Le passé peut être gommé
Tandis que l'avenir tracé ...
Veux-tu tenter une nouvelle aventure ?
Je ne te parle pas là de luxure;
Mais bien d'amour pur,
Sans aucune torture.
-𝕳.𝕳.𝕹.
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𝕷'𝕬𝖗𝖙𝖎𝖘𝖙𝖊
l'Artiste saisi son pinceau, mélangeant couleurs primaires
Éphémères, que sont celles de sa palette...
Concentré dans son implication, il engendre un démon,
Qui est né par l'omission des trois diaboles...
Son sourire alchimique est le reflet de la lumière.
Ses dents sont d'une blancheur aveuglante...
Le voyeur est alors épris de cécité et d'un frisson,
Il rouvre les yeux avec un regard nouveau et s'étiole...
-𝕳.𝕳.𝕹.
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𝕳𝖞𝖒𝖓𝖊 à 𝖑𝖆 𝖒𝖔𝖗𝖙
En mon cœur se cache une allégresse secrète,
Une dame voilée dans une obscurité infâme.
La Séductrice au trousseau de clés me sait prête...
"- Enivrante torpeur, je t'en prie, viole mon âme"
Elle esquissa alors un large sourire sadique puis me fixa:
"- Devrais-je alors te laisser blafarde d'affection ?"
Vile ivresse de mon esprit, je répondis "oui, nec plus ultra !"
Je fus alors séquestrée et bâillonné, exempte d'émotions.
*Funeste camisole, ainsi soit Je.*
- 𝕳.𝕳.𝕹.
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𝖀𝖗𝖘𝖎𝖉𝖆𝖊
Les terres de la désolation, sont la raison de son affliction,
Le Désert de Glace, l'enlace de son blizzard.
L'errance de la créature est un supplice,
Intrépide, il ère sans relâche, jusqu'au jour du sacrifice...
Divine Antarctique, le berce de ses échos et de ses griffes-stalactites, le lacère.
C'est là sa pratique sadique, son œuvre d'art.
C'est le temps d'Une Infinité Sans Passion:
La Créature ne surmontera pas cette torture, vile et malicieuse affliction...
- 𝕳.𝕳.𝕹.
