Le grand amour existe t-il ? Et si c'est le cas peut-il survivre à tout.
C'est ce que vas essayer de découvrir Artémis.
Une jeune femme qui va se battre pour son bonheur.
PS: la partie introductive de l'histoire est assez longue mais c'est pour met...
Suis je con. Non parceque je commence vraiment à me poser la question. Pourquoi je me suis déplacé jusqu'ici pour lui faire cette offre alors que je sais très bien que travailler ensemble est quasiment impossible. Ou bien c'est possible mais il faut que je reste concentré. C'est dingue tout à l'heure dans son bureau il y avait une telle tension sexuelle que je devais pensé chaque mot que je prononcer. C'est fou comment peut on désirer quelqu'un à ce point. Pourtant il ne faut pas que j'oublie que je suis déjà engagé.
Bon c'est l'heure je vais la prendre chez elle car elle tenais à garer sa voiture dans son parking.
Ellipse jusque chez Artémis.
Me demander pas pourquoi mais je suis un peu nerveux.
Driiinnng.
Artémis: j'arrive.
La porte s'ouvre et ouah elle s'est changée.
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Non mais elle est magnifique sérieux un véritable apel au viol, une vrai bombe.
Artémis: Tu peux fermer la bouche c'est gênant.
- crois pas trop c'est juste que je suis surpris que tu te sois autant âpreté.
Artémis: Tu m'a dis qu'on iraient au resto je n'allais pas gardé mes habit du boulot
- ouais mais je t'ai pas dis quel resto ça se trouve on vas au grec.
Artémis: tchippp essaye.
Je me surprends à rire et la prend par le bras pour l'escorter jusqu'à ma voiture. Eh bien je me surprend moi même je savais pas que je pouvais être aussi galant.
Bien sûr elle avait raison et je l'emmène dans un restaurant 5 étoiles.
On prend place et on regarde la carte.
Serveur: avez vous fais votre choix.
- Pour moi ce sera un tartare de boeuf. Avec du vin blanc.
Serveur: Et pour vous mademoiselle.
Artémis: je prendrai un steak bien cuit avec des frites de pâtes douce.
Serveur: bien.
Le serveur est parti et pourtant l'ambiance de notre table est froide, je ne sais de quoi parler. Artémis regarde les tables aux alentours avec une mine contrarié. Je l'imite et comprend son malaise. Les gens assis aux autres tables nous regardent puis chuchotent entre eux. Je ne peux pas croire que dans une aussi grande ville les gens soit si fermer d'esprit. Je prend la main de Artémis ce qui la pousse à me regarder.
- On s'en fou de ce qu'ils pensent.
Artémis: Oui je sais mais ça me soûle qu'ils nous regardent tous.
- Il le font car tu es la plus belle du restaurant et qu'il m' envient d'être à ton bras.
Artémis: ahah si tu le dis je pense qu'ils croient surtout que je suis une michto.
