Préférence #78

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Comment tu réagis à ça mort :

Dean: Tu n'avais plus goût à la vie, seul la chasse faisait parti de t'as vie. Tu avais coupé contact avec tout le monde sauf avec Sam et Castiel. Tu chassais sans relâche, des que tu avais terminé une affaire tu en avais une nouvelles. Et cela a durer jusqu'à ce que tu en ai assez et que tu décide d'avoir de nouveau une vie posée et calme.

Sam: Tu étais effondré, Sam était tout pour toi. Tu as tellement mal, que tu avais l'impression qu'on venait de t'arracher une parti importante et vital de toi-même.

Castiel: Sans lui, comment retrouver la joie de vivre ? Tu savais qu'il n'y avait pas de retour possible pour les anges, tu n'avais alors aucune change de pouvoir le ramener un jour. Tu as simplement accepté le fait qu'il ne soit plus là et tu as fais ton possible pour dépasser ton deuil, même si plus j'aimais tu n'arrivera à aimé quelqu'un comme tu aimais Castiel. Et autant dire que tu l'aimera jusqu'à t'as mort.

Crowley: Ou allait les démons après leur mort ? Allait-Ils au purgatoire ? Ou dans le néant ? Peux importe la réponse, l'une comme l'autre n'était pas envisageable pour toi. Le seul fait de ne plus le voir te torture de mille et une façon. Une chose est sûr, tu l'aime à en mourir.

Lucifer: Tu ne pensais jamais que Lucifer serai vaincu un jour, et malheureusement ce jour est arrivé. Toi qui pensais mourir avant lui, tu t'étais bien trompé. Tu n'étais pas dans ton assiette, des excès de colère te prenais sans même le voir venir. Tu avais garder t'as place sur le trône de l'enfer, t'amusant à tuer des demons comme bon te semblais. Même si au fond ça n'atténuerai jamais t'as peine, ça pouvais au moins te faire penser à autre chose. Et puis, qui ne crains pas la reine de l'enfer ?

Kevin: Tu étais dans une colère noir sans nom, tu as tué Gadrel sans même sourciller un seul instant. Mais une fois la colère disparue, la tristesse t'as très vite envahi.

Jack: Tu n'arrivais pas à assimiler, ça mort était tellement.. improbable ! Tu te demandais sans cesse, comment est-ce qu'un père puisse tuez son propre enfant, comment était-ce envisageable de tuez ça propre chair, son propre sang ! Tu comprenais la vérité, mais tu n'arrivais pas à l'accepter.

Gabriel: Comment être sur que l'embrouilleur soit mort ? Il avait tant de fois feinté ça mort que tu te demandais si ce n'était pas encore le cas. Même sans aucun signe de vie de ça part, tu pensais qu'il était vivant. Au fond de toi tu en étais vraiment convaincu, alors que les gens autour de toi pensais que c'était simplement t'as façon de faire ton deuil.

Balthazar: Même s'il avait commis plus d'un pêcher dans ça très long vie, tu pensais qu'il ne méritait pas la mort pour autant. Et c'était la raison de t'as colère, en plus de t'as tristesse, tout ce mélangeai en toi. La colère, la haine, la tristesse, tout s'emmêlaient dans t'as tête. L'esprit embrouillé te faisait faire n'importe quoi.

 Préférence SpnOù les histoires vivent. Découvrez maintenant