En ayant peur d'ouvrir son coeur
Il plonge dans le malheur
Et le lendemain matin
Il laisse place au chagrinUne larme disparaît vite
Mais la douleur persiste
Un coeur ou plusrien n'y réside
Pousse au sucideLes mots sont blessant
Le regard et perçant
Et en fasse de toi
Je me perd et me noieNuit et brouillard
Perturbe les regards
Et comme un abruti
Je me détruis