Moi, fleur je cache mon jeu. Je charme les abeilles de mon doux pollen. Les enivrants de mon parfum ils piquent et trop aveuglés par mon apparence ils mourront gonflé par ma réticence.
Je suis une fleur empoisonné impossible d’aimer.
Et j’en pleure, oui car je me rends compte que je ne suis pas faite pour ça. Je me déteste pour ça. Et je suis peinée de voir que mon poison ne fait que affecter des personnes qui ne devrait pas . Je ne devrais être l’admiration, l’intérêt de personnes.
Et pourquoi?
C’est tout simple. Ils suffoquent sous ces gaz.
Je sais maintenant. Ces sensations désagréables se multipliant sur ce qu’il me sert de face. C’est l’envie de pleurer.
C’est mon corps, Mon coeur et ma tête me punissant du mal que j’ai fais. Ils me punissent en me faisant pleurer.
Mais…
Je le mérite, oui je le mérite et je comprends. C’est ma faute.
Le pire c’est que tu ne m’en veux pas. Tu restes là à sentir ce parfum qui te tues à petit feu. Et je n’arrive pas, oh non je n’y arrive pas.
À quoi?
À quoi, eh bien, à te faire arrêter. À te stopper, à éteindre la flamme dans tes yeux. Je n’arrive pas à stopper tes pleures et j’en pleure. Oui cela m’attriste de voir que je ne suis plus une fleur empoisonnée. Je suis un chardon empoisonné. Je prends l’illusion d’une fleur car trop dégoûtée de mon apparence je préfère la cacher.