Vint l'heure de l'évaluation, un QCM assez bizarre sur les notions des premières journées, du jour même et de culture générale. Des questions de plus en plus difficiles destinées à stresser des candidats fragiles et les amener à demander l'aide des trois intervenants. Comme je l'imaginais, Stéphanie, dans sa grande application et sa totale soumission au système, fit appel aux conférenciers. A contrario, et de manière prévisible, Julien n'en fit rien, préférant l'humiliation a posteriori plutôt qu'en direct.
Malgré le quart d'heure d'avance sur la fin de l'exam je restai, une attirance, une intuition à creuser, savoir s'il y avait une prolongation envisageable avec Fabienne Merilleux.
Tout de suite il y en eut une. Son truc à elle : le canyoning, les sports d'eau et pas trop extrêmes. Une chose, entre autres, apprise après la remise des copies. Nous ne sommes pas revenus sur notre anicroche, nous avons discuté de la suite du stage et de bien d'autres choses autour d'un verre dans un bar sympa. Puis nous avons prolongé avec des tapas pour finir ici : dans mon lit ! Trop fier ! Je me suis bien demandé deux fois ce qu'une nana posée comme elle pouvait bien faire avec un chômeur formé par ses soins. Mais je ne me suis pas posé la question trois fois vus son charme, sa silhouette charnelle, ses yeux lumineux, son parfum et sa peau de pêche.
