Très tôt ma mère m'a apprit à simuler mes émotions,à rire à gorge déployer lorsque les oncles nous racontaient des blagues à cœur joie dés qu'ils en avaient l'occasion que nous connaissions déjà trop bien, à pleurer se rouler par terre et implorer le très haut ,à serrer le visage telle un cul de poule pour ne laisser aucune émotion transparetre, à lancer des sourires et rouler des hanches gracieusement afin d'appâter de bons partis.
Assise sur le toit de la maison je regardais cet homme à l'allure d'ange aux doigts fin et gracile au teint laiteux promener sa main le long de ma nuque,touché mes cheveux,caresser mon visage, le creux de mes rains avec un sourire niais et moi comme d'habitude feignant le plaisir que ses doigts me procurent,rire à ces conneries parler mariage bébés maison,l'écouter me parlé de la manière dont il s'occupera de sa future femme l'écouter me parler de la manière dont il lui fera l'amour dont ils ne laissera aucun homme me toucher ,me regarder et surtout me parler je le regardais me raconter ma soumission envers lui me raconter les changements que je ferais en commençant par le port du hijab.Il y croyait vraiment, c'est triste pour lui; il ne m'inspire que du dégout sa propre personne me répugne son parfum me repousse.il m'a toujours aimé cella était flagrant il venait chez moi et rester à des heures tardives sur la terrasse sur une petite chaise qui vous laissait des marques rouges sur les fesses après 30 minutes passée dessus il venait toujours avec son encens contre les moustiques et son équipement pour le thé étant sa couverture pour rester avec mon grand frère Abdoulaye. Ma mère m'avait toujours poussé dans ces bras me répétant sans cesse que j'étais idiote de repousser un tel homme et que même pour son argent et la relation qu'elle entretenait avec sa mère je me devais de l'épouser et je devais remercier le ciel car avec un visage comme le mien qu'un homme aussi parfait que lui soit attirer par une minette comme moi relevais du miracle
En pleine discussion je sentis ces caresses se faire plus insistantes, il se redit un moment pris quelques secondes de réflexion et m'attira brutalement à lui écrasant ces lèvres froides qu'il avait mouillé de salive au préalable sur les miennes un frisson de dégout remonta le long de ma colonne vertébrale jusqu'au bout de mes orteils un gémissement de fureur s'échappa de mes lèvres il en profita pour glissé sa langue dans ma bouche lorsqu'il se rendit compte de mon absence de mouvement il pressa fortement mes lèvres m'intimant à les mouvoir, gémissant me caressant se décollant quelques secondes pour me murmurer des mots d'amour le tremblement de ces mains et la bosse se formant dans son pantalon témoignait l'excitation que cet échange buccale lui procurait.Il tâta mes fesses presque plate puis sorti un râle roc, baladant encore plus ces mains sur mon corps frêle et les dirigeait vers ma poitrine pleine;d'un mouvement sec je le repoussa en essayant de me diriger vers les escaliers