Je me rend compte que maintenant mais j'ai raté beaucoup de choses en faisant ce que j'ai fait.
Je me demande encore pourquoi, j'ai fait sa quelle idée mes venues en tête.
Cette imagination trop grande ont me la toujours dit, mais je ne pensais pas que ça pouvait aller si loin.
Quoi ?
vous ne comprenez pas de ce que je parle et bien je pense que je dois commencer par le début.
(Au début il y a eu le big big-bang XDDDDDD non restons professionnel ce que je ne suis pas)
Les parents ils disent que la crise d'adolescence est compliqué pour eux, mais elle les encore plus pour ceux qu'ils l'ont notamment moi.
J'étais en cours et je rêvassais, dans mes pensées qui était eux parfait, pas comme ma vie mais un jour cette imagination commenca à se brouiller, pour laisser place à quelque choses d'horrible des meurtres se faisait dans ma tête et plein d'autre chose.
Je ne disais rien et quand on me demande si j'allais bien je disais oui.
C'était si simple, c'est bien plus dur d'expliquer pourquoi on est mal mais ceci était une erreur qui causa ma mort.
je souriais en cours, mais arrivant chez moi dans ma chambre, je ne me retiens plus et pleure laissant mon imagination prendre le dessus me montrant des choses horribles, j'étais dans une boucle sans fin la seule issue était d'en parler mais je ne voulais pas, donc ça continuait jusqu'au jour ou j'ai commencé ce que je n'aurais jamais dû commencer.
Et oui je les fais, je me suis mutilé, commençant par les doigts puis plus les jours avançaient plus je remontais mes manches.
Tellement j'en avais besoin de ça que je commençais à le faire au collège, disant que j'ai mal au ventre je sortais de cour pour me faire du mal comme si c'était la seule chose possible.
J'ai commencé à pendre des médicaments, le soir j'écrivais des lettres expliquant pourquoi je fais sa et a chaque fois je me couchais tenant la lettre.
Mais cela ne marchait pas alors je continue restant seul dans la cour, les gens disaient que j'étais folle mais sa ne me faisait plus rien.
Je cachais mon visage avec ma mèche pour pleurer sans que personne ne me vois c'était si simple, alors je continuaisde prendre des médicaments mêmes le midi seul dans mon coin.
Mes notes baissaient, je me faisais punir. Mes parents ne se doutait de rien, jusqu'au jour ou je refit cette lettre, je m'allonge.
C'était l'heure de manger ma sœur vient me réveiller, mais rien ne se passe elle voit la lettre et la lit elle se recule les larmes aux yeux, se demandant pourquoi j'ai fait sa, pourquoi je n'en ai pas parler.
Elle courras chercher notre mère.
Elle arrive et s'effondre au sol, notre père n'était pas la car ils avait divorcé alors les deux filles s'enlacent pleurant à chaudes larmes.
À ce moment je compris tout. Ne fêtent pas comme moi parlent de vos problèmes mêmes si c'est dur parler, se seras mieux pour tout le monde surtout pour vous.
Alors soyez fort !