Salut moi c'est Emiko j'ai ma sœur jumelle qui s'appellent Ayami et ont est la pour vous conté notre passe qui est vraiment bizarre. Commençons, par le début nous somme née.
Quand notre mère a accoucher nous sommes sortie, le problème c'est que nous avions eux des oreilles et une queue.
Notre mère ne nous a pas reconnues comme ses filles et nous avons été envoyer dans un laboratoire.
La bas c'était une vrais torture on nous nourrissait mal et c'est encore si ont voyait le soleil ont était des vrais animaux, a cause de deux éléments c'est n'importe quoi !
bref parlons de moi et Ayami ont est très différente moi rebelle elle timide et je suis oblige de la protéger.
Un jour une expérience la blessa gravement, se qui devais la tuer tous se que je connaissait de se monde était sa je voulais qu'elle connaissent le bonheur.
les scientifique arrive et nous jette dehors comme des déchet, regardant Ayami s'éteindre je lui ais donner ma vie sans savoir comment une lumière jaillit de sont corps et je ferme les yeux quand je les rouvre jetait en train de flotter, Ayami était debout alors jetait devenue un fantôme a sa place j'étais heureuse mais pas Ayami elle était triste
. elle venait e perdre sa sœur alors j'allai, lui parler lui montre que je suis la mais quand je la touche je repris mon corps je compris a se moment la que ont avait fusionner, nos oreille avec disparut tout comme notre queue après sa une famille nous adopta.
Mais moi et ma sœur avions un objectif qui était différent Ayami elle voulait connaitre le bonheur et moi me venger alors nous commençons, moi j'étais la cacher. je ne pouvait prendre le contrôle que très peu Ayami pensait être tranquille mais quand a rentre arriva, nous allions pour la première fois au collège et je lui dit qu'il faudrait que ont reste seul.
Alors elle alla loin de tous, pareille pendant les cours les gens se posais plein de question sur nous mais ont s'en fout. la moitié de l'année passe jusqu'au moment où Ayami fut convoque dans le bureau du dirlo elle ouvra la porte et ont vis avec effroi...
Le scientifique il nous vois et se lève, allant vers nous Ayami recula et s'enfuit mais des garde du corps nous bloque.
Elle arriva tout de même a aller dans la cour mais il nous suivit.
Moi avec tellement de haine pris le contrôle, tout le monde nous regardait mais une folie était en moi se qui me fit aller vers lui et je sortie un couteau et je lui tranchât le gorge, je fit une rire psychopathe puis tua tous le monde laissant aucune vie.
Mon objectif avec commencer Ayami me suppliait d'arrêter que la paix pouvait être possible.
Mais il était impossible de revenir en arrière, je tuas tous le monde sur mon passage cherchant ma vrais mère.
je vis un garçon ce garçon qui était avec ses sœur a la rue mais avec aucune pitié, je trucide c'est sœur devant c'est yeux avant de le décapiter.
Je continue mon massacre, ma sanité était au plus bas je trouvais enfin ma mère.
j'allais avoir enfin des explication mais ma haine était au maximum alors, je m'avance et lève mon bras mais au dernier moment Ayami arriva enfin a prendre le contrôle, elle la regarde notre mère était morte de peur jusqu'à que Ayami lui sourit et lui posa la question.
<<-Comment tu a pus ?
-Je ne les jamais voulus, je n'est pas choisis c'est votre père qui ne vous voulais pas et il savait a quoi vous allier ressembler>>
Quand j'ai compris que se que j'avais fait était mal.
Je repris le contrôle et j'allais enlacer ma mère et lui mis un coup de couteau dans le dos, après continuais en lui une dizaine de plus avant de partir vers la fenêtre du deuxième étage.
Ayami sortie du corps nous nous prenons la main et sourions avant de saute.
C'est quoi ce monde ou des personne ont la belle vie alors que d'autre ont la pire pourquoi ce monde est aussi nul pourquoi pourquoi... t'en de question sans réponse.
Mais une seul vérité "Ce monde est a chier"
Tous le monde le s'est, mais c'est pas pour sa que ont doit se l'enlever car un jour vous rencontre cette personne, alors n'abandonne jamais car la vie c'est sa qu'elle veut alors fêtent tous pour l'emmerder en restant en vie nous avons tous le droit de connaitre le bonheur.
