Chapitre 1

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        Avouons que parfois , la vie nous joue des tours assez bizarres. Des événements auxquels on ne s'y attendaient pas forcément, nous tombe dessus sans qu'on puisse y faire quoi que ce soit. Je suis moi même un témoin vivant de ses coups de la vie. Commençons par le tout début. Je suis Dalian Henry , un jeune directeur et entrepreneur millionnaire. Il est vrai que cette richesse est en partie due au travail acharné de mes parents , mais également, à mon bon rendement et a mon efficacité dans dans les affaires. Dieu m'a fait le grâce d'être un bel homme , sans vouloir me vanter ou être prétentieux. Cependant, je ne m'assieds pas pour autant sur mes lauriers .  Je travaille très dur pour pouvoir m'assurer un train de vie convenable et confortable.
       De plus, il faut dire que je suis également un amoureux de littérature. Autant Africaine que Européenne. J'ai donc ouvert naturellement, une académie dédiée a la littérature. Dans cette académie, les jeunes peuvent explorer toute la profondeur de leur talent, a l'aide de professionnel dans le but d'améliorer et perfectionner cet art unique dont ils en sont bénéficiaires. Je trouve que c'est un excellent moyen pour les jeunes de s'occuper et lutter contre la délinquance juvénile. Plutôt que de errer dans les rues  a ne rien faire et a devenir des vagabonds, des parasites sociales.
       En ce qui concerne l'amour, je ne considère pas vraiment cela comme une priorité. Je peux avoir des relations avec des femmes , mais jamais rien de bien sérieux. Je préfère largement me consacrer a mon travail plutôt qu'a une femme qui ne va m'apporter que des soucis. En vrai,  je ne considérais pas vraiment l'amour  comme une priorité jusqu'au jour où tout fini par basculé dans mon monde si paisible. Il n'a suffi que d'un jour , que d'un seul jour pour tout bousculer. C'était un samedi comme les autres. J'etais a l'Académie et je prenais mon temps pour lire les essais de mes protégés.  C'est comme ca que j'aime bien les appeler .Et sur ma table, était posée une feuille blanche avec une écriture , une si belle écriture telle un calligraphe. Je pris alors le papier et lis. C'était un poème a priori .
           
      Incompris  , insouciant
      J'avance dans la noirceur comme l'être meurtri et solitaire
      que je suis, cherchant désespérément une aide, un secours,
       qui eux, m'aideront a reprendre vie.
       Je vois de la vie, de la joie, de la gaité, pendant que mon
       âme lui se meurt.
       Qui dans ce monde obscur saignera -t-il me sauver?
        Qui se soucie assez de mon être insignifiant pour me
        sortir de cette noirceur, cette tourmente dans laquelle
       je suis ?
       Triste. Oui triste réalité, car ce monde est ingrat ,
       malhonnête et hypocrite.
       Oui dans ce monde où la bonté n'engendre que souffrance
        et regret. Oui dans ce monde ou la bonté est un mot mort qui n'intéresse personne.
          Ces occupants sont bien trop distraits a parfaire leur
          image et a porter des masques toutes les journées.
         Mais où sont passés l'originalité, l authenticité ou bien même l'honnêteté ?
           Ils sont malheureusement tout aussi morts que mon âme
           Tout aussi mort!

        Waouh! Ce poème m'avait vraiment touché. Il était écrit avec une grande sensibilité, une si grande douceur! Il me tardait de féliciter la personne qui en était l'auteur. Cependant, cette personne avait malheureusement préféré garder l'anonymat. Mais a en voir l'écriture, j'en avais déduit qu'il devait certainement s'agir d'une fille. Mais pourquoi me le faire parvenir de cette façon ? Pourquoi garder l'anonymat ? Pourquoi agir ainsi? Ce qui était une certitude c'est que cette dernière avait énormément de talent.

Amour intense, amour sacrifiéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant