Partiels

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Un soir de janvier, il faisait bon, je me reposais lorsque mon téléphone se mit à vibrer, une fois, deux fois, puis une dizaines de fois.
Des notifications Instagram, il y avait un message en plus de tout le reste, une femme m'avait envoyé quelques compliments, je visite alors son profil et je lui rend la pareil.
C'était une jolie femme de 26 ans brune, au corps svelte, je plaisante avec elle au sujet de son âge (6 ans supérieur au mien), puis, nous continuons de discuter, pendants plusieurs jours nous nous appelons régulièrement lorsque qu'elle n'est pas occupé dans son hôtel.

Un jour elle me propose de venir chez elle, je lui dis que je suis assez occupé avec mes sorties, elle, doit s'occuper d'un hôtel très fréquenté, elle me dis qu'elle se libéreras à nouveau bientôt je lui dis que j'accepte avec plaisir.
Je sortait beaucoup une sorte d'ivresse s'emparait de moi, je plaisais, et je le sentais, on m'invitais à des soirée incroyables, je vivais, je m'amusais, et surtout je fuyais ma pire ennemie, la solitude.

Le jour viens où entre toutes ces festivités je réussis à libérer du temps, j'envois un message à Adèle, elle m'appelle comme à l'accoutumé:
« Viens ce soir tu sais où j'habite, je t'attends ».
On s'échange quelques mots puis je raccroche.
le soir viens, j'arrive devant son appartement, on ne s'était jamais vu alors je me demandais si le courant allait passer, le feeling est essentiel pour moi.
« Tu es prêt ? Le moment fatidique est arrivé » plaisante Adèle.
Je sonne, elle ouvre.
Je grimpe l'escalier, Adèle m'attends dans le couloir du haut de ses un mètre cinquante cinq, je la pensais plus grande, elle me fais signe d'entrer.
Elle s'allonge sur le canapé, me présente son chat, visiblement elle vit seule, sûrement trop occupée pour avoir un conjoint.je prends alors mes aises, je me débarrasse de mon trench, elle le pose sur le porte manteau, puis, naturellement elle s'installe à mes côtés.Elle allume la télé, je déteste la télé, je commence à ressentir la fatigue de la journée.
D'un coup un frisson me sors de mon état de fatigue, sa main parcourais ma cuisse, une sensation agréable je dois dire, mon sexe se dressait déjà, déformant mon pantalon, je ressentais une gêne comme à chaque fois que ça arrivait, mais Adèle s'empressa de faire tomber ma ceinture et d'ouvrir ma braguette, l'hystérie qui l'animait n'était pas déplaisante, cela m'était déjà arrivé plusieurs fois.
Une fois ma braguette ouverte, mon sexe dessinait une forme longue et épaisse, elle le caresse, puis, cédant à l'impatience, glissa mes sous vêtements le long de mes jambes, elle glissa un léger gémissement, puis baissa la tête, elle attrapa mon sex à deux mains puis glissa mon gland dans sa bouche, quel frisson, j'adorais ça, d'un coup elle prit une grande partie de mon sexe en bouche, sa gorge se déformais, elle repris son souffle quelques secondes plus tard.
L'excitation était au rendez vous, elle grimpa sur moi posant ses deux pieds sur mes cuisses et s'enfourchant sur mon sexe gorgé de sang, il glissa lentement en elle:
« Putain » glissa Adèle en gémissant.
Elle me chevauche, ses cris résonne dans son énorme appartement, plus elle me chevauche et plus mon sexe est dur, je pose mes mains sur ses fesses pour l'aider à ne pas se fatiguer trop vite, je veux que ça dure.
Adèle est la seconde femme chez qui je provoque des larmes de joie, elle me chevauche en criant:
«  putain, putain, putain ».
Ses larmes coulent, elle me regarde le visage enjoué et souriant puis lève les yeux au ciel, son vagin se contracte alors, je comprends qu'elle jouis elle tremble sur moi, j'essais de la tenir du mieux que je peux, elle éjacule encore convulsant sur mon corps, elle remonte alors sur moi en gémissant mon prénom suivis de: «  putain continue ».
Son deuxième orgasme quelques secondes plus tard fût encore plus violent, il déclencha le mien, je gémissais, mais cela tenait plutôt du cris d'animal.
Nous avons discuter, elle m'a dit que les hommes avec qui elle était d'habitude était de sombre abrutis, il ne savaient pas satisfaire une femme, elle sortait avec des trentenaires, je ne fût pourtant pas surpris.
Son chat faisait le funambule dans le dressing, je ne pouvais m'empêcher de rigoler lorsqu'il faisait tout tomber, Adèle était une femme avec un grand charisme, mener à la baguette un grand hôtel ne l'effrayais pas, mais en privé, elle était toute douce, je n'ai pas dormis de la nuit, le stress, mais de quoi ? Et là je me rendais compte que mes partiels était à 8h, je devais être là bas à 7h30, il était déjà 5h, j'étais ravagé par la fatigue, héritage d'une soirée mouvementée.
Je m'assoupis alors, le réveil sonne, 40 min que je dors, Adèle dors en croix, nue, une jambe sur moi je prends alors mes affaires et sors de l'appartement, juste avant d'arrivé au gymnase ou se tenait l'épreuve, Adèle m'envois un message  « tu es partis comme un voleur jeune homme, cette soirée était magnifique merci. ».
Je commence alors mon épreuve à deux doigts de tomber au sol, mais le sourire au lèvres.

EROSOù les histoires vivent. Découvrez maintenant