Tout a un commencement.

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Ça fais longtemps que j'y réfléchie, pourquoi vivre ou mourir, ça n'a pas trop de différences, on le sais tous que nous allons mourir un jour ou l'autre. Nous sommes là pour assurer la progéniture, régner sur cette planète, mais qui nous l'a demander ? Personne. A moin que cela sois ce « dieu » qui nous aurais donner cette idée, mais pourquoi ? Sommes nous manipuler ? Comme de vieux pantins pour s'amuser ? L'humain est têtu et n'abandonnera pas cette ordre de peupler pour gouverner. Nous naissons, grandissons, rencontrons, mettons au monde, vieillissons, puis mourrons indéfiniment, comme des déchets pour laisser place au récent, beaucoup plus intelligents.
C'est ce que je me dit tout le temps, je souhaiterais la réponse mais je sais très bien qu'elle n'existe pas, j'y pense encore et encore, perdant mon temps inutilement, je devrais vivre sans me poser la question, car j'y suis ...obligée...

Pendant que je rêvassa dans les toilettes afin de me cacher de ma solitude,dans la cours de mon collège, des cris se fient entendre, et une fraction de seconde, la cours était remplie de gens bouffés et des cadavres déambulant. Je nageais en plein cauchemar. Mais je n'eu pas le temps de réfléchir plus, je sortie des toilettes afin de m'enfuir. A peine sortie, je vu la personne qui remplissais mon ventre de papillons se faisant entourer par un de ces monstres, ni une ni deux je poussa vers moi la victime et je sortie de l'enceinte du bâtiment.

Crush : qu'est ce que tu fou salope y'a mes potes à l'intérieur !

Moi : ferme la et suis moi.

Crush : putain lâche moi Obsi !

Moi : c-c'est comme ça que tu me remercie pour t'avoir sauver ?! Si tu veux je te laisse tout seul te faire bouffer ! Salut !

Crush : pardon ...pourquoi tu m'a sauver ?

Moi : viens on dégage d'ici sauf si tu veux crever...

Crush : ok mais...lâche moi la main.

Je fus très gênée de lui avoir tirer la main pour le sauver. Je lui lâcha la paluche et nous marchâmes pour trouver un endroit safe afin de survivre à cette apocalypse sanglante. En y repensant, mon chien se conduisais vraiment bizarrement ce matin...
Bref, moi et Tim avions trouver un endroit où se cacher.

Moi : tu pense que les morts vivants ils voyent ? Ou il entende ?

Tim : dit pas n'importe quoi, regarde dans les films.

Moi : les films c'est pas pareil que la vrai vie.

Tim : ...

Moi : bref. Un jour ou l'autre on va mourir. Sois bouffer par ces trucs, de faim ou suicide.

Tim : ça annonce les couleurs. T'es glauque.

Moi : c'est la vérité pourtant. On a que 14 ans, on va pas vivre comme des grands. Déjà y'aura sans doute plus d'électricité dans le monde, on pourra pas faire cuire ce que l'on mange, et la viande fermentera avec le temps, on aura plus de conserves ou autres trucs pas perimable indéfiniment. On est déjà mort.

Tim : arrête de penser à ça t'es parano.

Moi : ... bref. On devrais barricader cette endroits.

Tim : et trouver de quoi se défendre, mais, tu veux barricader avec quoi toi !?

Moi : je trouverais bien.

Je monta à l'étage à l'aide de l'escalier présenté devant nous, et je fis une découverte des plus troublante.

Apocalypse Où les histoires vivent. Découvrez maintenant