chronique de fatima,une enfance pas comme les autres.

partie 04

Les vacances tirent à leurs fin, nous sommes à 2semaines de la rentrée des classes.
Je suis en train de préparer ma glacière pour aller vendre du jus mais tout à coup je vois ma tante qui arrive vers moi en s'adressant à moi
Tante saly: fatima aujourd'hui tu ne vas pas à la garage par ce que ta mère est rentrée de voyage et elle passe la journée ici donc khamal lou ma la wakhoul
Gare à toi si tu lui parle de notre petite commerce.

J'ai fais oui de la tête pour abdiquer de qu'elle m'a dit et puis elle est partie.

J'étais dans la chambre avec la fille de ma tante et c'était le silence total puis que mademoiselle se croit supérieur à moi elle ne m'adresse même pas la parole. Et c'ést temps mieux pour moi par ce qu'elle est si arrogante que je ne veut même pas qu'elle me parle.

On entends quelqu'un qui salut dehors et je sais que c'est la voix de ma mère mais je ne bouge même pas. Elle entre dans la chambre valise à la main,elle salut ma cousine puis me prend dans ses bras pour un long câlin et j'ai tout de suite oublié toute rancune que j'avais contre elle. Admettons que l'amour d'une mère est au dessus de toute ressentiment.

L'ambiance allait de bon train elles discutaient de tout et de rien et riaient mais moi je ny participais pas par ce que je n'avais pas l'
habitude de discuter avec ma tante donc je ne vais pas le faire devant ma mère non je ne suis pas hypocrite je ne suis qu'une enfant. Et je sais que ma mère a remarqué que quelque chose ne vas pas.

Le soir quand elle rentré ma mère a dit à ma tante qu'elle veut que je parte avec elle chez mon homonyme qui habite tout près de chez nous .

Quand on est sortis ma mère ma dit fatima ceci n'est qu'une prétexte pour te parlé seule a seule. Je ne répondait pas alors elle poursuit j'ai fait exprés de rester 2ans sans te voir ni t'appler et c'était juste pour que tu t'habitue a ta tante ,pour que tu apprenne à le connaitre et que tu la considère comme une mère.

Comme si elle lisait en moi elle me dit fatima je ne te déteste pas ma chérie car tu est ma prunelles. Mais je pensé que ta tante était une bonne personne quand je te demandé de vivre avec elle.

Je suis au courant de tout se qu'elle te fait vivre. Khalé nga mai mougnal rek YA allah bakhna boul tite dara je suis avec toi ma fille.
Dans la valise que je t'ai amené il y'a tout se dont tu a besoin pour l'ouverture des classe.

Elle me remet un bout de papier avec son numéro de portable et me demande de l'apelé a tout moment surtout en cas de besoin. Puis avec les larmes aux yeux elle m'a demandé de partir avant que ma tante ne me frappe.

Voici votre suite et je m'excuse de la longue attente je vous aime tous love sur vous mes amours

Bonne lecture