Le stagiaire aux cheveux vert

Jour de grève

Aujourd'hui c'est jour de grève, enfin pour certain. Je fais partie des rares salariés à venir même les jours de grèves. Pourquoi ? Parce que je déteste prendre du retards son mon travail. Je sais déjà que les locaux serons quasiment  vides, luffy et Usopp sont les premiers à ne pas venir quand ils le peuvent. Nami chérie aussi, mais Robin elle, est assez professionnelle et viendra certainement. Quant au stagiaire lui c'est sure qu'il ne viendra pas et tant mieux ça me fera des vacances.

J'arrive en bas du bâtiment, et comme je me doutais les parkings sont presque vides. Je passe l'entrée en saluant chaleureusement ma collègue Robin qui s'occupe de l'accueil aujourd'hui visiblement. Je prend l'ascenseur, pour une fois. En entrant dans celui si je sens une odeur particulière, c'est pas déplaisant au contraire, ça sens plutôt bon. Ça me dit quelque chose mais je ne sais pas vraiment quoi.. c'est sûrement un parfum d'homme vue l'odeur masculine. Enfin bref. J'arrive au quartier administratif, là où je travail, et ouvre la porte. Heureux de constaté que je suis vraiment le seul du service à être venu bosser aujourd'hui.

-Quels bandes de flemmards..

Soufflais-Je. Soudain, une arôme de café vient me titiller les narines. Je pose les yeux sur mon bureau et y découvre une tasse de café. C'est pour moi ? Je tourne ma tête comme une girouette. Qui ma apporter ce café ? Je suis tout seul ici. Je porte la tasse à mes lèvres et laisse glisser le liquide chaud dans ma gorge. C'est pile comme je l'aime, comment la personne a su que j'aimais le café noir sans sucre? C'est pourtant pas commun. C'est peu être Robin, je la remercierait chaleureusement toute à l'heure !

Je m'installe à mon bureau, tout content d'avoir un bon café avec moi et le calme total dans la salle.

Hmm.. encore cette odeur ? Décidément elle embaume tout l'étage ? Ça sens divinement bon c'est ding. Soudain deux mains viennent me cacher les yeux et me bloquer la bouche. Pris de panique je chope mon interlocuteur par les bras avent de l'envoyer valsé sur mon bureau, je me retrouve donc debout avec cet abruti entre les jambes que je maintient fermement contre ma table. Mon café est tombé au sol ce qui a le dont de m'énerver. Je soupire fortement en voyant que ce n'était que Zoro qui essayait sûrement de me faire une blague, de merde. Que fou se stagiaire à la con ici un jour de grève !? J'ai failli lui peter un truc merde !

-T'es complètement malade ! Qu'est-ce qui te prend de faire des choses comme ça ?!

-Wah pardon Cook je pensais pas que tu réagirais comme ça !

-t'as cru que j'allais me mette à pleurer ou bien ?

-Non non ! Mais c'était juste une surprise.. tu as vue je t'ai rapporté un caf-.. Oh il est tombé..

J'eu un moment d'absence, ses yeux étaient plongé dans une sorte de tristesse inconnu pour la perte du café, n'est en moins ils étaient magnifiques. Un vert sombre et intense, aux reflet de jade. Je n'avais jamais vue un aussi beau regard. Je me pris à l'admirer, lui et son visage aux lignes délicate et masculines, sa mâchoire carrée, son odeur succulente et ses pectoraux légèrement visible par dessus sa chemise. Notre position était plutôt spécial et pouvais facilement porter à confusion. Si on entrais à se moment précis dans la pièce, on pourrais croire que je suis entrain de violer le stagiaire sur mon bureau. Après quelque instant je repris mon esprit quand le Vert approcha son visage du miens, je ne bouge pas, je le regarde faire étonné. Qu'est-ce qu'il veut? Pourquoi tend d'hésitation sur son visage? Ses oreilles sont rouge, il a chaud? Mes mains qui, pour l'instant tenaient fermement les poignets de Zoro, se relâchaient petit à petit.  Son visage et ses lèvres étaient maintenant à quelque centimètres du miens. Je commence à avoir chaud, cette sensation étrange je la connais. Ses beaux yeux fixaient les miens dans un regards des plus sensuel, il va vraiment osé ? Contre toute attente le vert se racla la gorge avent de me repousser légèrement en arrière puis de se lever. Non, il n'a pas osé. Aussi étrange que cela puisse paraître je me mis à sourire perversement.

-On assume pas, Stagiaire ?

Le jeune rougis et frappa du poing sur la table visiblement agacé avent d'empoigner ma cravate.

-Qui te dis que j'en avait envie blondinet ?

Quel changement de caractère c'était radicale, il n'avait jamais était aussi, cru et brutal avec moi. Mais je ne suis pas du genre à me laisser faire. J'attrape a mon tour sa cravate et le tire vers moi.

-Ton corps ta trahit Marimo..

Dis-je en affichant toujours se sourire malsain sur mes lèvres. Mon instinct ne me trompe jamais, je sais quand mon charme fait effet, et sur lui ça a l'air de plutôt bien fonctionner malgré que je n'ai rien fait pour. Il me lâcha brusquement avent de soupirer un jurons et de partir s'assoir en face à son bureau.

-Au faite merci pour le café !

-Vas-y ta gueule avec ton café ..

J'éclate de rire, j'adore c'est réaction, décidément il me plaît de plus en plus se petit stagiaire..