arrivé

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Mon père m'a appelé pour me dire qu'il est bien arrivé et m'a donné ma mère au téléphone. Je n'y est pas cru. Vue que c'est temps si je me voyais en rêve entrain de nager dans du sang. Je suis heureuse. Je voulais aller à  l'école à son absence mais je vais attendre l'année prochaine avec l'aval de mon père. Le téléphone sonne à nouveau, mais cette fois ci  une voix d'une femme d'âge mûre.
- où est ton père.
-Hum c'est qui svp
-C'est  ta Tante Astou depuis la côte d'Ivoire
- il est parti en séminaire en Guinné.
Tint tint elle raccroche.
J'ai comme un frisson qui me traverse tout le long de mon corps. Je me sens  vraiment pas bien j'ai un mauvais pressentiment. Lalia dormait à point ferme dans la chambre. Je la réveille puis on discute longtemps et je laisse réviser. Je suis sorti pour acheter le repas. J'ai croisé Babacar en chemin, il m'a interpellé et à prie de mes nouvelles. Il s'est excusé d'avoir été absent et m'a offert une enveloppe. Ma soeur va me tuer j'ai mis beaucoup trop de temps. On a mangé tout en discutant elle est parti révisé dans la chambre. Comme m'a mère me l'a conseillé je prendrais soin de ma soeur. Elle est tellement adorable quand je la regarde.
On cuisine ensemble le dîner après je la laisse se reposer elle a son examen de philo dans 2 jours.
Jour-ji je la réveille à 6h et je la souhaite bonne chance.
Ensuite je me couche. Vers 8h je pense entendre du bruit dans la maison, peut être c'est la fatigue. J'avais fermé la porte à clef. J'ai voulu me lever mais il y avait le gardien dans la chambre entrain de me regarder je voulais m'enfuire mais hélas c'était trop tard. En un mouvement il était sur moi. Je me débattait de toute mes force pas m'a virginité. Jamais mon sang ce qui est plus sacré pour moi. Je lui est donné un coup de poing pour m'enfuire. Mais la porte était fermé j'ai paniqué j'ai commencé à crier. Il s'est rapproché et m'a donné  un coup qui me fit tombé au sol. Je voulu riposté mais il enchaîne les coups les uns plus violent que les autres. Je préfère mourir que de donner mon sang à ces hommes. Je me débattait je souffrais tellement j'étais sur le poing de tomber. Je priais intérieurement.  Il déchire m'a robe. Je ne tiendrai pas longtemps je commence à pleurer. Je voix que flou. Il me donna un coup fort au ventre qui me fit rouler par terre. Il me souleva et me déposa au lit. Il commença à faire son sale besogne. Ma voix ne s'entendait plus je souffrais réellement. Il s'en prenait vraiment mal. Il s'y prenait avec brutalité, je saignais mais cela l'exciter on dirait. Il venait de tuer le peu d'estime que j'avais pour les hommes, même pour celui de mon père.
Je me haissais d'être faible.

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