Je suis jeune et belle. Mais je n’ai que dix sept ans. Ma mère m’a souvent dit de me méfier des hommes car ils constituent à mon âge un véritable danger pour mes études et mon avenir. Mais elle ne pourrait jamais imaginer que le véritable danger se trouve dans sa propre maison. Mon père ! Ma fille tu grandis hein ! Regarde comment tu deviens de plus en plus belle! Je n’ai pas dragué ta maman pour rien ! Que mes spermatozoïdes sont très en forme ! disait-il. C’est ainsi qu’il a abusé de moi sexuellement.
Je vous laisse découvrir. Bonne lecture à vous.Je m’appelle Svieta et nous sommes en vacance. La famille est tellement contente à mon sujet car je viens de décrocher mon BAC II à l’âge de dix sept ans. Des cadeaux par çi, encouragements et félicitations par là. J’étais la plus heureuse du monde parce-que je l’ai mérité. Mon labeur de ces derniers neuf mois a payé.
Mon père me choyait. Chaque fois qu’il rentrait du boulot, il me ramenait quelque chose. Des glaces, des biscuits et des caramels. Il me gâtait très bien vu que maman n’est pas souvent à la maison. Elle est sénatrice et dans la semaine je la vois rarement. Souvent elle est en voyage, en mission et autres donc je passe souvent mon temps avec mon papa.
Normalement je devais partir en vacance chez mes cousins aux Etats unis mais je ne sais pas ce qui a pris mon père de refuser. Pour lui, je dois rester et me préparer pour l’université vu que je viens d’avoir le bac. Il y a pleins de choses à préparer disait-il. Je l’ai mal digéré mais j’acceptai finalement car je ne pus rien.
Un soir, maman rentrée du boulot nous faisait savoir qu’elle a une mission de un mois en Europe. Moi qui voulait passer ces vacances avec elle ; voilà qu’elle est bourrée de travail.
Elle partit deux jours plus tard me laissant seule avec mon père et la gouvernante. Je me sentais seule parce-que je m’ennuyais mais il ne voulait pas que je sorte avec mes amis ni aucun garçon de me rendre visite. Je restais à la maison toute la journée sans rien faire, juste en regardant la télévision.
Un soir, j’étais sous la douche avant qu’il ne rentre du boulot. Il m’appela en criant. Je luis répondis que j’étais sous la douche. A ma sortie, il m’attendait au salon. Je le rejoignis quelques minutes après. On papotait en regardant une série à la télé. Je me suis endormie sans le savoir.Tard dans la nuit, je me rendis compte que je ne suis plus au salon mais dans ma chambre à coucher et que papa était assis à côté de moi tout en me regardant dormir. Je lui demandai :
- Tu ne dors pas papa ?
- Non ma chérie. J’avais l’insomnie donc j’ai préféré rester auprès de toi en te regardant dormir.
- D’accord papa. Et pourquoi t’as pas sommeil ?
- Peut être à cause de l’absence de ta mère. Tu sais que tu deviens de plus en plus belle ma fille ?
- Merci papa.
- J’avoue que je n’ai pas dragué ta maman pour rien ! mes spermatozoïdes sont très bien en forme.- (Rires) arrête papa, ce n’est pas drôle ce que tu dis
- (rires) oui je sais ma fille. Mais faut que tu saches que je suis fière de toi.
- Merci papa. Je
t’aime- Je t’aime aussi ma fille.
Il me prit dans ses bras, me serra très fort. Je remarquai qu’il passait ses mains autour de ma taille, tout en les glissant pour me caresser les fesses et en me déshabillant. Je lui demandai :
- Mais qu’est ce que tu fais papa ?
- Ne dit rien ma fille ! ferme les yeux et laisse-moi faire.
- Arrête s’il te plaît papa ! ne me fait pas ça !
- Fais-moi confiance ma chérie. Ça ne te fera pas mal.
- Mais tu es mon père ! Que dirais- je à maman ? s’il te plaît arrête sinon je vais crier.
Il me déshabilla par force en disant :
- Tu ne feras pas ça ! sinon, oublie l’université. Tu m’appartiens autant que ta mère. Je t’ai fait venir au monde et c’est mon devoir de te gouter avant qui que ce soit.
Malgré mes supplications et mes cris, il faisait la sourde oreille. Il ne voulait rien entendre. Je criais à maintes reprises mais personne ne pouvait entendre mes cris et douleurs. Il me poussa sur le lit, écarta par force mes jambes et commença à me pénétrer avec une certaine fureur. Je pleurais en fermant les yeux jusqu’à ce qu’il ne s’en lasse. Après avoir fini, il sortit de ma chambre. Je vous avoue que je n’ai pas pu fermer l’œil de la nuit. Les larmes coulèrent sur mes joues comme si j’étais à une veillée funèbre. Je cherchai mon téléphone voulant appeler ma mère mais je ne le retrouvai nulle part. J’ai finalement compris qu’il l’avait confisqué.
Le lendemain, j’avais de la peine à me lever du lit. Je ne faisais que pleurer. Qu’ai-je fait de mal pour que mon propre père me fasse cela ? La gouvernante aussi n’était pas là et je ne savais pas à qui me confier. Je pris une douche et pris une ou deux de mes affaires voulant quitter cette maudite maison.
Le vigile ne me laissa pas sortir. Mon père avait donné des ordres stricts donc il ne peut pas les outrepasser car il risquait de perdre son emploi. Je ne pouvais même pas lui dire ce qui s’est passé. C’est une honte pour moi.A son retour le soir, j’étais dans ma chambre. Il entra et s’arrêta au seuil de la porte. Se mit à genoux et me demanda des excuses parce qu’il ne savait pas ce qui l'avait pris. Je ne savais pas quoi dire. Je pleurais. Mais je lui ai bien fait comprendre que je ne le pardonnerai jamais et que maman serait mise au courant. Il me supplia de ne pas le faire ce que je refusai. Il me prit alors de force et m’enferma dans le sous sol de la maison.
Je restai là sans manger ni boire jusqu’au retour de ma mère. Je ne sais pas ce qu’il lui a raconté mais elle n’a pas cherché à savoir où je suis ni me contacter.
Le temps passait et je n’avais plus de force pour me lever. Ma mère devenait soupçonneuse de mon absence.
Un soir au salon en l’absence de mon père, le vigile entra et demanda à lui parler. C’est ainsi qu’il commença à lui narrer l’histoire genre que je ne suis pas sortie de la maison et qu’il est sur que je suis enfermé quelque part parce-que mon père lui avait demandé de ne pas me laisser sortir et depuis tout ce temps je ne suis plus sortie.
Ils commencèrent à me chercher. Heureusement maman avait connaissance du sous sol. Ils me retrouvèrent toute pale et malade. Elle me demanda ce qui s’était passé et je lui narrai tout depuis le début. Peu de temps après, le médecin de la famille arriva et s'occupa de moi.
Du retour du boulot le soir, mon père, en ouvrant la porte du salon, était attendu par la police. Il fut arrêté et sera condamné plus tard pour viol et séquestration de mineur. Il croupira en prison et ne sortira jamais.
Depuis ce temps, moi et ma mère ne sommes pas remises de cette histoire. Elle m’amena définitivement habiter en Europe où j'ai commencé à voir un psychologue car depuis lors je suis traumatisée.
Méfiez-vous des pères qui vous qualifient de trop.
Fin…
Ecrit par Koffi Olivier HONSOU
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Mon père est un pervers
HorrorCette histoire nous montre comment un père a séquestré et abusé sa propre fille. Je vous laisse découvrir. Bonne lecture à vous.