Je me rappelle,
Je me sentais tellement vide
Sans tes rires et sourires
Sans tes belles parolesJe me rappelle,
Avoir haï la distance
De tout mon êtreJe me rappelle,
Avoir pensé à toi
Toutes les journées
Toutes les nuitsT'apparaissais même dans mes rêves
Je pensais devenir fou
Je pensais perdre la têteLe souvenir de ton parfum
Doux comme l'air marin
Le souvenir de tes mains
Dansant sur ma peauÇa me rendait dingue
Au bout d'un moment
J'ai même essayé de te sortir
de mon esprit
Je suis allé voir des potes
Histoire de me changer les idéesMais rien à faire,
Tu occupais toujours mes pensées
Jours et nuits, ça ne s'arrêtais jamaisJ'avais gardé un de tes pulls
Et je m'étais surpris à le porter
Bien trop souvent, trop longtempsÇa aidait un peu,
C'était comme si
C'était une partie de toiMais, c'était pas pareil,
C'était pas toiCertes,
On continuait à parler
Jours après jours
On continuait à s'appeler
Jours après joursMais bordel Timaël,
Qu'est ce que tu me manquaisÇa m'faisait un mal de chien
Ça m'faisait souffrir comme pas possible
De pas t'avoir face à moiJ'avais l'impression
Que ça me tuait à petit feux
J'exagérais pas,
Ça me bouffait de l'intérieurEt, j'penses que c'est parce que
J'ai jamais aimé quelqu'un aussi fort
VOUS LISEZ
Océans
Poetry« Deux océans nous séparaient, Mais c'était pas assez pour nous empêcher de s'aimer »