Quand l'amour porte ton nom.

Chapitre 1.

J'aimerais savoir ce qui c'est passer entre nous, pourquoi on en est arriver là. Qu'est ce que j'ai put faire pour te haïr autant que je t'aime. J'ai essayer de tout donner, de faire de mon mieux, j'ai essayer d'être le meilleure amant, le meilleure beau-fils pour tes parents et le meilleure père pour nos enfants. J'ai travailler dur pour vous offrir la plus belle maisons, grâce à nous deux on à put se payer les vacances qu'on à toujours voulu avoir et on les à toute fait, on à visiter les plus grands déserts, les plus belles plages. Je me suis perdu des centaines de fois dans tes yeux, j'ai décortiquer chacune de tes expressions passant des larmes au rire, de la joie à la peur, tu es toujours aussi beau que lorsque je t'ai connus.

Mais maintenant tout part en lambeau, tout part en fumée, toute ces années de bonheur réduite en cendres et pourquoi? Personne à part toi ne peu répondre à cette question. Même pas moi. Pourtant je suis quand même le principal concerné, c'est mon couple à moi aussi et pourtant je ne peux pas expliquer la cause de tout ça entre nous. Je m'était promis de te chérire et te protéger tout au long de ma vie, tu étais mon âme soeur et je ne me voyais pas finir mes vieux jours avec quelqu'un d'autre que toi.

Mais peu importe, maintenant je me retrouve dans un vieille appartement miteux, avec tout ces papiers d'avocats sur le dos, de notaires sous les yeux. Et je n'y comprends rien. Il n'y à qu'un seul mot que je comprends et qui à du sens pour moi, celui de divorce écrit un peu partout une dizaine de fois sur chacun des foutues papiers que tu m'as envoyer. Et honnêtement je n'ai pas envie de les signer, je ne veux pas. J'ai envie de courir pour défoncer ta porte et te supplier de ne pas rompre la promesse que l'on c'est faite il y à dix ans, le jour de notre mariage.

On était liés toi et moi, alors que c'est-il passer pour ce tout ce qu'on à mis tant de mal à battir se casse la gueule? Tu es partout sur moi, comme marquer au fer rouge, tu étais mon ame soeur comment as tu fait pour que l'on se haisse autant? J'ai tellement de questions, de tourment qui me ronge que je ne sais pas lesquels regler en premier. Une vie sans toi n'en est plus une, j'ai tout perdu depuis ce soir là, où j'ai trouver une maison, notre maison vide, mes bagages dans l'entrée et juste un post-it coller sur le mur. Alors c'est ça que notre histoire vaux à tes yeux? Je suis anéanti, et mon chagrin ne pourra jamais égaler tout l'amour que j'ai pour toi.

En cette vieille nuit d'automne, je suis seul ma peine pour me tenir compagnie. Je me sent tellement vide, triste, abandonné, trahis et la liste est longue que plus rien n'as de sens pour moi. La vie, la mort? Je ne sais même pas quoi choisir.

../..

C'était un matin hivernale, froid et rude. La neige laisser tomber ces plus gros flocons sur la ville, un peu plus loin dans un petit village éloigné une petite maison nager dans le bonheur. Le père de famille fumer une cigarette dans le jardin, surveillant ses deux enfants faire des bonhommes de neige, il jura pour la forme quand il senti une boule froide et mouillé s'abattre violemment sur son jean. Il leva les yeux vers ses enfants qui venaient de lui balancer une boule de neige, il écrasa sa cigarette et se jeta sur ses enfants hurlant de joie.

_Je vais vous manger bande de petit monstre" hurla le père, fonçant droit sur ces enfants, les attrapant un dans chaque bras les faisant voler dans les airs, les laissant tomber dans un tas de neige plus loin, "Vous avez voulu me mouillée, voila ce qui arrive quand on s'attaque au monstre des neiges."

Il attaqua de chatouilles ses petits bouts les laissant rirent à pleins poumons, ils profitaient tout les trois de ce temps et de ces moments de rigolades. Il ébourrifa les cheveux de ses enfants, leur mettant de la neige fondu dedans, se moquant d'eux devant leur petite bouilles hilare.

_Allez les monstres, on rentre. Vous allez être malade!"

_Nooon papa, encore. On peu faire l'avion?"