Coucou mes petits loups, j'espère que vous allez bien. Voici le chapitre en deux en espérant qu' il vous plaira. N'hésitez pas à me donner vos avis ;)
Louis
PDV Laïa
Je me réveille dans ma chambre. Mon lit, mes livres, mon ordi. Oui, tout cela n'était qu'un mauvais rêve. Je soupir de soulagement. Les rayons du soleil qui filtrent à travers la fenêtre, annonce une bonne journée. J'entends des voix en bas, peut-être sont-elles à l'origine de mon réveil. Quelle heure est-il? Il ne doit pas être loin de midi vu le soleil mais surtout, l'envie soudaine de manger. Je suis parfaitement réglé niveau bouffe. Bien la seule chose d'organiser dans ma vie!
Je voulais me lever afin de chercher mon téléphone pour voir l'heure et voir ce qu'il se passe en bas mais une douleur au niveau du cou m'en empêcha. Je reste allongé dans le lit bien 10 minutes le temps que la douleur se calme. Je ferme les yeux et sens des larmes coulaient lentement le long de mes joues. Quand la douleur est supportable j'ouvre les yeux. Ceux-ci sont embrumé mais d'un coup du revers de la main je vois plus clair. Je pose lentement mes mains sur mon cou mais à la place de trouver ma chair, je me trouve avec ce qu'il semblerait être, un pansement. je tâte le tissu. Oui, et ce n'est pas un petit pansement. La peur m'envahit. Et si ce n'était pas un rêve?? J'essaie de me calmer mais je suis vite rongé par l'angoisse. Je devais enlever le pansement. La réponse se trouve sous celui-ci. Prise d'une soudaine détermination, je me lève d'un bon, oubliant au passage la douleur. Je sors de ma chambre et m'arrête au milieu du couloir, là où se dresse une grande armoire. La porte de celle-ci est ornée d'un grand miroir. On peut se voir en entier, ce qui est pratique. Ma tenue me laisse perplexe. Je porte ma robe blanche, celle des rituels. C'est de plus en plus bizarre.
N'y tenant plus j'arrache le pansement. Le sang coule. Je le sentis couler le long de mon corps. Chaud, fin. Mais cela m'importe peu. Mes yeux sont rivés sur le miroir. Sur le cou qui est le mien. Sur cette morsure, cette cher à vif. Malgré la tempête qui s'éveille dans ma tête, seule 3 réponses me parurent possible. Pour commencer je n'ai pas rêvé. Donc soit je ne vais pas tarder à devenir un loup maudit mais cela serait bizarre vu que je suis encore vivante mais expliquerai la robe blanche soit j'ai été marqué ce qui explique que je suis encore en vie soit les deux. Mais cela pouvait il être possible?
Je sais que je ne suis pas comme les autres mais enfin.... je devais en parler à mes parents peut-être que le sauront. Je jette un dernier regard au miroir. Je suis surprise par la pâleur de ma peau par mes cheveux châtains désordonnés. Quand je m'arrête sur les yeux, c'est eux qui me glace le sang. Il sont vide, pas une lueur d'espoir. Hors, l'espoir fait vivre. Je quitte ma robe blanche et me retrouve avec un pantalon noire et un débardeur gris. La tenue que je portais pendant le combat.
Je descends les marches. Lentement. Une à une. Chaque marche craque sous mon poids. Je suis tellement fatiguée. La rampe est la seule raison qui explique que je sois encore debout.- Je n'aime pas ses manières!!! La forte voix était celle de mon père.
La voix qui répondit se perdait dans la maison. Mon esprit était ailleurs. Je suis à la dernière marche. Si je fais un pas de plus, je devrais lâcher la rampe. Si je franchis cette marche ce sera l'inconnu. Je devrais affronter la vérité, la réalité. Accepter de ne plus rien contrôler, de subir quelque chose que je n'ai jamais voulu. Voir mon monde s'écrouler. Ce monde de confort qui me protège...
Je fais ce que toutes les petites filles font quand elles font un cauchemar, appeler mon père, pour qu'il me protège.-Papa... Gémis-je, les yeux toujours fixés sur le sol.
J'entends bouger.
-Laïa... le visage de mon grand frère apparaît.
Il me soutient par le bras et m'aide à franchir cette dernière marche. Je me sens soulagé.
-Qu'est ce... Qu'est ce... qui se passe? Tentais-je de demander.
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Marqué
WerewolfJe suis dans la forêt, poursuivis par des loups maudits. Mes heures sont comptés. Pourtant, il m'a sauvé la vie ce jour là, mais ce n'est pas gratuit. Pour qui se prend t-il? Depuis quand on marque une personne qui n'est même pas vôtre âme-soeur...