Abbacchio has the Moody Blues

Abbacchio has the Moody Blues - Prologue

Un Stand est un pouvoir psychique que certaines personnes possèdes.

Le pouvoir d'un stand diffère entre chaque individu.

Seul les Manieurs de Stands peuvent voir les Stands

Leone Abbacchio intègre la police en sortant du lycée.
Il est encore jeune et son objectif est simple il veut simplement faire régner la justice.

Malheureusement frappé par la dur réalité de son métier il commence à sombrer dans le mauvais côté du métier, il se laisse corrompre , il ignore les petits délits. Lors d'un cambriolage ( avec meurtre ) d'une boutique, Abbacchio et son coéquipier sont envoyé sur les lieux , là, Abbacchio intercepte le voleur/tueur mais s'aperçoit qu'il s'agit d'un voyou dont il avait accepté un pot de vin. Le voleur le fait chanter en l'avertissant que si il l'arrête , il dénoncera sa corruption, Abbacchio fut troublé assez longtemps pour permettre au malfrat de sortir une arme et tirer... Heureusement le coéquipier de Abbacchio pris la balle pour lui et tira en même temps sur le voleur.

Après cet incident, Abbacchio fut ensuite sanctionné pour corruption , quitta la police et sombra dans une dépression, jusqu'au soir où....

Prologue - Le jour où je marcherais avec des gens comme toi...

Il se tient là... sur le trottoir d'en face, à l'abri sous son parapluie, son regard n'a pas l'air mauvais, il a pitié de moi, je le vois, il a pitié de ce que je suis , de ce que je suis devenu, sait il qui j'étais avant ? Que me veux t-il ?
Son regard me paraît maintenant impassible, j'ai déjà vu ce genre de regard avant, le même que les mafieux qu'on arrêtait...Ce serait donc un mafieux ? Que me veut t-il ?
Ses vêtements sont propre, assez luxueux , ce qui pourrait confirmer la théorie du mafieux... Peut être fait il partit d'un gang d'un connard que j'ai arrêté, est il venu ici pour me tuer ? Je n'ai pourtant pas peur de lui, de ce qu'il dégage... Que me veux t-il ?

- Leone Abbacchio ? commença t-il

- C'est moi .. je lui répond franchement, au point où j'en suis aucun utilité à mentir.

- Je m'appelle Blono Buccellati, je fais partie d'un des gangs les plus puissants d'Italie, et malheureusement pour toi, tu as arrêté plusieurs personne faisant partie de notre gang, bien sûr ils sont tous sortie plutôt rapidement grâce à nos moyens... mais disons ... que notre Boss à été assez mécontents de devoir libérer ses gars plusieurs fois de suite.. et ce n'est pas le genre de personne a passé sa colère en frappant un mur... il m'envoie ici moi pour passer ses nerfs.. Mais j'ai une autre proposition à te faire.

- Je t'écoute..

Il est donc venu me tuer...ça ne me fait ni chaud ni froid... pourquoi ? J'en ai peut être juste marre... Mais écoutons ce qu'il a à dire... qui sait ... ça pourrait m'apporter un peu d'intérêt..

- Rejoins notre gang... Tu sais tenir une arme.. tu sais comment fonctionne un système comme le nôtre .. et certaines de nos sources m'ont dit que tu possédais un stand... Tu pourrais être quelqu'un de très utile.

Est ce qu'il vient sérieusement de me proposer ça ? Devenir un mafieu ? Devenir une ordure comme eux .. même si le déchet que je suis est minable... ça vaut toujours mieux qu'eux... je peux pas m'abaisser à ça ... C'est à cause d'eux que j'en suis là.. c'est à cause d'eux qu'il est mort... C'est à cause d'eux si des gens ont besoins de enfilé un uniforme pour faire régner la justice !!! A ce moment là.. le regard d'Abbacchio retrouva une lueur de vie, de colère, d'envie de faire régner la justice , de redevenir celui qu'il était avant !!!

- Ecoute moi bien Blono... le jour où je marcherais avec des gens comme toi... ce sera uniquement pour vous emmener devant un tribunal.

- Je vois... et bien tu ne me laisse plus de ch-

A peine Buccellati commença t- il à sortir son stand Sticky Fingers, que du coin de la rue ... un sosie.. Nan, un clone de Buccellati sortie de l'ombre , une copie conforme , même expression ,même vêtement ,même visage.

-Moody Blues.

Je ne pourrais sûrement pas te vaincre avec la force de mon stand, mais je peux te surprendre un assez large lapse de temps pour..

A peine Buccellati avait il eu le temps de comprendre pourquoi un clone de lui était apparu que Abbacchio sortit une arme de sa veste et tira sur le mafieux encore étonné.

Buccellati tomba contre un mur , il n'était pas mort, mais suffisamment touché pour ne plus bouger. Abbacchio tourna les talons et avant de s'en aller dit :

-Tu n'as pas l'air d'être aussi mauvais que ces malfrats que j'arrêtais où que je vais arrêté. En échange de ta vie je veux que tu donnes un message à ton boss. "Je vais débarrasser la ville de ton gang et de ta sale gueule."

Il s'en alla donc, une bouteille à la main et un flingue dans l'autre.

Fin du Prologue.