Chapitre 1

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Je suis Nick Call Field, jai 16 ans, jai les cheveux noirs et les yeux bleus, je mesure un mètre quatre-vingt, je me promène dans la forêt à coter de notre village avec mon meilleur ami, Sam Smith, 16 ans comme moi mais il est roux avec des yeux sombres, et il est plus petit que moi de 5 cm un peu prés. On adore se promener dans cette forêt, mais sans que lon ne sy attende, la nuit tombe, on essaie de sortir de la forêt mais on ne voie rien et ont fini par se perdre, Sam panique et me dit que lon va mourir, jessaie de le rassurer mais moi-même je stress, on saventure plus profond dans la forêt, mais on a jamais étais aussi loin et la forêt est très dense, ont fini par se faire un abris pour dormir, et on sendors à même le sol en dessous de notre abris, le lendemain on se réveille affamer mais on a rien pour se nourrir et vu que lon ne sy connais pas en plante, on ne préfère pas mourir empoisonner, on marche toute la journée sans croiser le moindre animal quon pourrais chasser et manger. Deux jours sont passés, toujours rien à manger ou à boire, Sam sécroule en fin daprès-midi et dit :

« Laisse tombé Nick si je meurs avant toi mange-moi pour que tu puisses vivre.

-Ne dit pas ça !

-Promet le-moi si ça arrive.

-Je te le promets mais si cest linverse, mange-moi, toi aussi.

-Daccord. »

Il me sourit et me dit quil est fatigué, je mallonge avec lui et on sendort encore affamer, le lendemain je me réveille mais Sam non jessaie de le réveiller mais rien, je panique et cries-en pleure et le secouant :

« Sam, Non ne me laisse pas pas toi, sil te plait ! Réveille-toi ! »

Mais toujours rien je regarde si son cur bat mais rien, je pleure de plus belle, plus tard dans la journée je nai pas bougé mais je me rappel de notre promesse, je lui ais promit de me nourrir de lui sil mourait et inversement, jessaie de préparer un feu, au bous de dix minute le feu prend enfin, je chercher une pierre tailler et je commence à coupe son bras, je me dis que je lui ai promis. Jembroche son bras avec une branche et le met au-dessus du feu une fois cuis jhésite pour la première boucher mais fini par ne plus résister à la faim. Je pleure en mangeant car je ne voulais pas perdre mon meilleur ami, je fini son bras mais je ne mange rien dautre, jai tenu ma promesse. Je ne bouge toujours pas, un sanglier sapproche, il me regarde puis me renifle, il na pas lair davoir peur de moi cest bizarre. La nuit tombe et lentement, plusieurs animaux ont fini par me rejoindre, mais je ne dors pas ne trouvant pas le sommeille à cause de mes muscles me faisant atrocement mal.

En trois jours je me suis transformée en un monstre, un Wendigo, mais ça va mes vêtements nont pas craquer sou mes membre qui sallonger, mon ami à étais bouffer par des ours, et moi jai fini par retrouver mon village mais je ny suis pas allé car jétais déjà en monstre, je me balade dans lombre en observant ma famille, mes amis. Mais je nattaque personne, je me nourris uniquement danimaux car là je les trouve facile et je suis rapide avec des griffes donc je suis un bon prédateur. Les seuls humains qui mont vu se sont enfuis. Une semaine est passé depuis la mort de Sam, je me balade dans la forêt, je rencontre un groupe dado, un petit blond et en train de se faire racketter part un groupe de 5, 3 gars et 2 filles, je crie, le groupe se retourne, me voie et ils se sauvent la peur sur le visage. Le plus petit me regarde aussi terroriser mais je mapproche de lui doucement, je ne veux pas lui faire peur. Je lobserve un peux plus, il doit à peine avoir 15 ans il a des yeux si bleus que lon dirait deux globes deau pure, il est vraiment petit, il doit faire 1m65. Il à laire davoir moins peur, et lui montre mon dos pour quil y monte, il le comprend et me demande :

« Tu veux me ramener chez moi ? »

Jhoche la tête. Même si je peux parler je préfère plus faire mon cri et des gestes jai pas envie que les personne soie encore plus terroriser par un monstre. Il monte du coup sur mon dos, toujours prudemment et je lui prend ses bras et les met sur mes épaule et serre ses main pour lui dire de se tenir, je commence à courir le plus vite possible, il me dicte le chemin que je fais, on arrive devant sa maison, jai de la chance il fait nuit, il me dit :

Le monstre de la villeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant