Dans ma chambre, il y a une fenêtre. Elle se trouve juste en face de mon lit. De là je vois le nid d'oiseau dans l'arbre, du jardin d'en face.
Quelle chance ils ont, eux ils échappent au contrôle de maths de demain. Je suis assise à mon bureau, devant mes livres de cours, cela doit bien faire une heure que je travaille dessus. J'entends des pas dans le couloir, mon père entre sans prévenir et me tire de mes rêveries.
Je me retourne rapidement histoire de cacher le fait
que je dormais à moitié, ce qui ne le trompe pas.
-Ca va ? me demande t-il, l'air intrigué.
-Oui. Très bien !
C'est sûr qu'après des heures de révision, je dois avoir une tête
de détérée.
-OK. On va passer à table.
Et il partit, sans un mot de plus. Enfin une occasion de lever le
nez de mes bouquins. Je me lève pour rejoindre mes parents
dans la salle à manger. J'ouvre ma porte, quand un cri déchirant me fige sur place. Je
me retourne sans un bruit, et saute sur mon lit, Et glisse ma tete par la fenetre. Je vois maintenant
la ruelle derrière chez moi. Elle est sombre, seul deux vieux lampadaires eclairent faiblement la chaussee. Je cherche d ou pourrait provenir le cri. J'apercois
un homme, de l autre cote de la ruelle. Il est poursuivie par deux autres, qui le vise avec
leurs armes. L'homme arrive au bout de l alle. Il essaye
d'escalader le mur en composite. Les deux hommes le rattrape, l un lui attrape la jambe et le jette au sol, l autre lui fracasse le poing dans le ventre.
Ils lui enfilent des menottes. Le plus grand des deux le fait se relever et le
pousse violemment en avant. L'homme tribuche et tombe. Ils ne sont pas tres loin de moi, et je les entends parler:
- Regarde-moi cette larve. Ils rampe au sol comme tout ceux de son espece!!
- Pourquoi !? dit l homme au sol.
- Pourquoi ? Tu sais tres bien, pourquoi. Toi et les sales chiens qui te servent de famille, etes interdit de Centre-Ville. Pourtant tu y es aller cette aprem!
L'homme poursuivie, ce releve face a ses agresseurs. Ils s immobilisent et en une fraction de seconde se met a courrir dans le sens oppose.
Les deux hommes le
regardent s'enfuir puis l'un d'eux appuye sur son poignet, et un
éclair bleuté jaillit des menottes. L'homme s'écroule, surement inconscient,
enfin je l'espère.
Une voiture entre dans la ruelle. Une femme en sort, charge
le corps dans le véhicule. Les deux autres l aide, et la
voiture repart comme elle était arrivée, en silence. Les deux agresseurs repartent a pieds en s adressant des felicitations mutuelle.Au loin le soleil se couche, sur la ville. Je suis toujours là, devant
ma fenêtre a comtemplée mon reflet. J'ai les cheveux châtains
très clairs, un long nez, et les yeux noir, comme deux trou sans
fond. Un sentiment de culpabilité m'envahit. Mais pourquoi je fais
ça, je viens d'assister à un enlèvement.
Je descend de mon lit et me dirige vers la salle à manger. Je
me déplace comme un robot, en heurtant les murs au passage.
Je me demande qu' a pu faire cet homme pour justifier une telle
violence, et d'où venait la voiture. Pendant le laps de temps entre
l'arrivee et le depart du vehicule j'ai pu entrevoir une partie de sa
plaque, qui était immatriculée « I.A.S » pour " Intelligence Artificielle Superieure".
Je dois avoir reve, le
gouvernement n'aurai pas pu faire ce genre de chose.
J'arrive dans la cuisine sans calculer mes parents, j'attrape
une assiette me sert une platrée de pâte, et sors de la cuisine.
Heureusement depuis quelques mois j'ai pris l'habitude de
manger seule, dans ma chambre. Je remonte au pas de course l escalier menant a l etage. La piéce est baigné d'une belle lueur bleuté,
projetée par la pleine lune. Je m'assois sur mon lit, et je
commence à manger mon plat....
Je me réveille en sursaut, des pattes collées sur le visage. Le
solleil éclaire en partie ma chambre, je cherche mon réveille des yeux. Je manque de tomber de ma chaise quand je vois écrit «8:12» sur l'écran. J'enfile un pantalon, un chemisier propre et
j'attrape mon sac. Je me précipite dans le couloir, je ne prends
pas la peine de descendre par les marche, je m'assois
directement sur la rampe et la dévale jusqu'en bas. Je manque de
percuter ma mère et l'évite dans un écarts acrobatique. Je lui
lance un « au revoir » et claque la porte dériére moi.
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General FictionJessica est une ado de 16 ans, vivant dans un quartier pavollionaire. Elle me se doute de rien mais elle va devenir L ENNEMI PUBLICE N°1 !!!