Je me souviens de ma première fois, c'était chez mon amie, un soir de soirée pyjama. J'étais recourbées contre elle et je collait ma tête sur son ventre, protégées par elle et confortablement apaisée par son parfum de rose. On dormait ensemble, dans un lit pour deux et douillet, notre nid. On se trouvait loin des parents de ma copine, qui étaient assoupis en bas, loin du grenier de princesse où vivait ma chérie. Ce jour-là, on avait commencée à se caresser tout doucement, puis de plus en plus sensuellement. On devenaient de plus en plus chaude; rien que de penser à l'odeur de Jeannine ce jour-là, me fait presque jouir. Je me sentais tellement bien, perdue dans les bras de ma Vénus!
Et puis, on avait commencé à enlever nos habits et à éteindre la lumière pour ne pas éveiller les soupçons. Jeannine m'aidait entre toutes les caresses à me déshabiller. Elle commençait à me lécher les seins, les oreilles et la nuque, avec sa langue, douce et chaude, qui me donnait envie de plus. J'étais devenue sa sucette et sa salive était aussi bonne que du miel! Elle avait commencée à déboutonner ma chemise, à enlever mon pantalon. Et puis, elle s'arrêtait pour que j'en fasse de même avec elle. Au crépuscule de la nuit, j'apercevais sa langue toute rose me parcourir le visage et ses yeux à demi renfermés, le sourire aux lèvres. Je ne voyais rien, à part son visage et ses petites lèvres roses.
Tandis que je commençais à me déshabiller, elle commençais à explorer mon maillot de sa main bouillante et à me tirer la culotte avec envie. Elle essayait même de me percer avec son doigt curieux. Elle avait faim mon Aphrodite, je le savais! Et elle souhaitait que je lui offre du plaisir! Finissant de la déshabiller complètement, je commençais mon exploration. Son corps était si précieux. Je repassais de ma main et de ma langue ma relique adorée, tandis qu'elle m'embrassait le corps. Et puis, j'avais commencé à aller plus loin... elle gémissait timidement au départ, mais dès que fut arriver le bon gros plat, je sentais un liquide doux et visqueux recouvrir ma langue, liquide que je dégustais moi-même et que je finis presque d'absorber jusqu'à ce que ce fut à mon tour.
"- J'ai encore faim, je te dis! Laisse moi boire ton eau précieuse..."
Elle me coupa la parole en me léchant d'un coup sec la lèvre et en insérant ensuite son doigt avec détermination. Sa tête se trouvait entre mes cuisses nettoyées au préalable par ses mains curieuses et par sa salive qui me recouvrait petit à petit entièrement. Ce que j'aimais aussi, c'était ses petits massages doux. Ses doigts traversaient mes lèvres avec délicatesse et bonté. Je finissait donc mon petit caprice, et ce fut le paradis qui s'ouvrait à moi.
Le plaisir ne s'arrêtait pas là. Elle sortit de nulle part un des ses jouets et me l'inséra. Au début, je ne supportait pas ça car la présence de ce corps étranger me tracassait, mais, au fur et à mesure, je commençais à jouir, et à pousser de petits hurlements confus qui firent plaisir à ma copine. J'étais tellement absorbée que je n'arrivais pas à maintenir mes cuisses en place. Après, ce fut à son tour. Elle m'apprena vite-fait les bases, je la voyais poser sur le manche, un petit préservatif à la fraise. J'appris plein de choses, le va et vient et la façon dont on le manipulait. C'était super! Notre première fois se termina par des baisers longs et tendres et des câlins d'amour. Cela dura plus de deux heures. On s'endormies, nues, vers une heure du matin avant de se réveiller, apaisée et se cajolant dans notre nid. Jeannine m'avait même dit:
"Comme tu es belle mon petit poussin rose! Tu t'es débrouillée comme une ouf! Ça te dirais de revenir chez moi?"
Je le savais très bien au début! Jeannine est un perverse! Ce fut ainsi chaque samedi, une fois toutes les deux semaines que je m'endormais nues sous les caresses et la tendresse de ma chérie.
Un jour, je me souviens, la perversité de Jeannine et la mienne allèrent plus loin. On était dans une forêt où l'on campait sous le clair de la lune et sans tente. Mon bout de chou et moi; nous nous sommes déshabillée, pour rire et pour imiter les naturistes. On est partie dans un délire totale. On a décidé d'être comme des déesses, ma Jeannine et moi. Vers 22 heures, nous le faisions au milieu de l'herbe et nous nous endormâmes l'une dans l'autre car il faisait froid. Les herbes me chatouillaient beaucoup et mon amour me sauvait des griffes d'une araignée grâce à un coup de pied bien visé. Seul un drap blanc et mince nous cachait de la nudité. On était deux naturistes, perdues au milieu de rien... heureusement, personne ne se baladait dans la nuit. Je n'avais pas peur car je savais que ma femme savait se défendre et qu'elle me protègera car elle faisait de la boxe, et cela me rassurait beaucoup. La journée suivante, nous nous réveillames comme deux Aphrodite; nous prenâmes un petit déjeûner et nous nous habillâmes ensuite pour retourner dans notre maison.