Le petit garçon court, il est à bout de souffle, il pleure, il a peur.
Les hommes imitent sa mère, il sifflent pour l'attiré, mais, il n'est pas bête, il les a vu, avec leurs bâtons de métal qui crachent du feu les utilisaient sur sa mère qui s'écroulait dans la seconde.
Il court depuis une bonne demi-heure, ses jambes lui font mal, les chiens aboient, ils grognent, la bave coulant, ils se jouent de lui, lui mordent les pattes, il pigne sous les morsures.
Il a les poumons en feu.
Soudain, une autre brûlures, il s'écroule, ils l'ont toucher, il les regarde s'approcher, il les regarde suppliant de le laisser, mais, les hommes ne parlent pas son langage, ils sont bête et arrogant, cruelles et destructeur, ils ne comprennent et ne comprendront jamais le langage de leurs Mère la Terre.
Le petit garçon pleure, une l'arme coule, un coup de crosse le cueille à la tête, il voit rouge, son sang coule, un autre coup et c'est le noir.
il regarde autour de lui, mais, ne voit rien.
Puis, une lumière blanche et une magnifique biche, couleur de l'écorces des chênes centenaires, il la reconnaîtrait entre mille, son odeur, ses yeux, sa mère, il cours ou plutôt gambade vers elle, il la rejoins et regarde autour de lui, une magnifique prairie s'étend autour de lui, une immense harde y paîsse, il gambade et va retrouver son père, un magnifique cerf au bois immense, mort une heure avant.
Les chasseurs regarde le faon, fière d'eux et l'emmène, pour le transformer en horrible trophée.