Tout à commencer en octobre 2016, les rues de la Nouvelle-Orléans étaient à leur comble. Bloc par bloc, porte par porte, les habitants insturaient l'esprit d'halloween dans leur foyé. Le mois d'octobre est le mois le plus attendue de l'année, par ici, les commerces surpassent leurs ventes dû aux visiteurs et les fêtes s'enchaîne plus grandiose les unes que les autres. C'est le temps par excellence pour faire des rencontres de tout genre, et cela à été le moment de ma rencontre... Ce soir là, le bar en face de mon petit appartement organisais LA soirée à ne pas manqué et comme je ne suis pas du genre à rester seul un samedi soir il m'est apparu évident d'y faire un tour. Les shootes de vodka vide grandissaient autant que le nombre de monde qui avait dans la pièce. J'étais complètement ivre, au point de ne plus me rappeler où j'habitais, je m'étais donc endormi sur un divan qui décorait la pièce, même si le barman savait très bien où j'habitais, j'étais sûr de passer la nuit sur ce petit deux place. Jusqu'à ce que deux bras me soulève. Tout ce dont je me souviens, est son regard doux et bien vaillant qui me regardait et puis plus rien. Le lendemain, je m'étais réveillée dans mon lit, bien sûr un énorme mal de tête accompagnait mon réveil, mais ça ne m'a pas empêcher de partir à la recherche d'information sur ma soirée un peu trop arrosé. Jason, le barman, m'avait raconté qu'un visiteur, ayant eu pitié de moi, lui avait demander s'il me connaissait et de fil en aiguille Jason lui avait donner mon adresse. J'avais mise de côté le fait qu'il avait donner aussi facilement mon adresse à un inconnu et j'étais retourner me coucher jusqu'au lendemain. Le lendemain, comme tous les jours de la semaine, j'étais au Electric Landyland Tattoo, le studio de tatouage dans le quel je travail. Je m'en souviens encore comme si c'était hier, j'avais une pause de deux heures avant mon prochain client quand Cassy, une de mes collègue, m'avais appeler à venir à l'avant. Debout devant moi il y avait un homme, début trentaine, fin vingtaine, les cheveux bien peigné vers l'arrière, décontracté, mais propre bref, l'opposé de la plupart des gens qui viennent dans ce studio. Je l'avais détaillé sans gêne jusqu'au moment où mes yeux s'étaient accrocher dans les siens. C'est à ce moment que j'ai su qui il était. Avec un sourire amuser il m'avait demander s'il pouvait prendre un rendez-vous avec moi pour se faire tatouer. Je lui avait demander s'il voulait vraiment salir sa peau vierge et m'avais répondu que pour arriver à un corps aussi tatoué que le mien il avait bien fallu que je tache ma belle peau basané un jour. Il s'était donc rapidement installé sur ma chaise de tatouage et m'avait demandé un crâne avec une vielle horloge portative qui pend de le bouche du crâne, Tout en spécifiant exactement les chiffres voulu. C'etait quel que chose de très sombre pour l'homme si pétillant qu'il projetait être. Tout au long de la séance il m'avait parler de sa famille, ses rêves et de sa passion pour la photographie. De mon côté, même si j'avais voulu lui parler de ma vie, je n'avais pas grand chose à lui dire. Je n'ai jamais vraiment connu mes parents, je ne sais pas si j'ai des frères ou soeurs, mon passer au Brésil est lourd et peu légal et à part ma petite vie tranquille je n'ai pas vraiment de rêves. Malgré tout, ma vie me plaisait bien et je n'avais aucune honte à être tatouer de la tête aux pieds, j'adorais mes piercings et j'aimais bien mon style négliger. Bref, les deux heures s'étaient rapidement écoulé et j'avais seulement pu graver les contours du dessin, mais il semblait émerveillé. Chaque semaine, il passait au studio avec un vanille française pour moi et un Moka pour lui, il me montrait l'évolution de la guérison et essayait de me faire parler un peu. Parfois il arrivait durant une de mes pauses et je lui retouchais son dessin, il me demandait la signification de mes tatouages et un jour je lui avait demandé à mon tour la signification de son tatouage et il m'avait répondu d'être patiente, que le moment venu j'allais tout comprendre. Si seulement j'avais comprise plus tôt... Les mois s'étaient enchaînés et son tatouage était terminer depuis quelque temps déjà, mais il venait pareil chaque semaine avec un Vanille et un Moka. Petit à petit on avait commencer à se voir en dehors du studio et à se rapprocher, il m'avait demander d'être son model pour ses photos et j'avais accepter sans grande hésitation. L'année suivante s'était déroulée très rapidement, notre relation au titre incertain s'était transformé en un amour profond. Tout paraissait féérique jusqu'au moment où il avait commencé à faiblir. Ses os se cassait en un coup de vent, sa peau porcelaine était devenue translucide et rempli de bleu, il dormait pratiquement des journées entière sans interruption et son appétit diminuait à vu d'oeil. Je ne comprenais absolument rien à ce qui lui arrivait et malgré ses protestations, je l'ai rentrer d'urgence à l'hôpital. C'est seulement lorsque je suis sortie de l'hôpital seul que j'ai tout compris. J'ai compris pourquoi il était si malade, j'ai compris son tatouage et j'ai compris les chiffres qu'il avait choisi, mais encore aujourd'hui, je ne comprend pas pourquoi toi...
