(Creepypasta et d'autre univers) Une nouvelle Proxy

💉☆Une folie maladive☆💉

J'étais terrorisé, maintenu au sol, je tremblais, Il approchait de plus en plus, en riant, un couteau de mon yeux

J'ai voulu fermer mes yeux submergé de larmes mais, ils me les maintenaient grand ouvert

Subitement il plantait violament son arme dans mon orbite droit, ce qui a eu pour effet de m'arracher un perçant cris de douleur

La peur et la douleurs était les seul émotions que je pouvais ressentir, même, les derrière émotions que j'avais pus ressentir

Les jeunes garçons avait été perturbé par des bruits de pas, ils avaient donc décider de prendre la fuite et de me laisser à moitier mourante au millieu du chemin

Je tremblais, je ne savais plus qui j'étais, ou j'étais, et qu'elle émotions exprimer à ce moment là

Avec difficulté je me suis relever et j'ai immédiatement regarder autour de moi avec le seul oeil qui me restait

La seul chose que j'avais pus apercevoir, c'était un silhouette masculine s'éloigne peux à peux dans les fin fond de la forêt

J'ai voulais crier, appelé à l'aide, mais mon corps réagissait contre mes volonté, j'étais incapable de me contrôler

Je pris une grande inspiration avant de déposer ma main à l'oeil qui m'avais été arraché

Quand le touchais, on pouvais voir un sourir ce former sur mon visage, Oh non ce n'était pas de la joie... Mais quelque chose de bien pire

Tout a coup je retirait celle-ci de mon orbite pour goûter au, d'après moi, délicieux liquide rouge sur mes mains

On aurait pu penser que j'étais devenu folle, mais j'avais une raison de faire ça, j'avais simplement perdu mes moyens, je découvrais un "nouveau monde" à présent, la souffrance.

Souffrance, je n'avais que ce mot en tête, il ce répétait comme un playliste dans mon esprit

Il ce répétait de plus en plus fort, je hurlais, je voulais que cela s'arrête, que tout c'est événements ne ce sois jamais passé

Malheureusement, j'avais encore conscience qu'un retour en arrière était impossible pour moi, tout cela allez être définitivement gravé en ma mémoire...

Brusquement, je repensais à mon cauchemar, ce garçon, lui aussi il avait l'air de souffrir, son horrible sourire n'était pas là par hasard, je le savais.

Tout mes rêves, mes attitudes, les événement, tout était lié et me fesais réfléchir longuement

C'était sur, il était présent hautant dans mon esprit que réellement, je savais que peux importe l'endroit, le temps ... Je reverrais son sourir, sourir que j'arrivais maintenant à comprendre...

Je fus subitement sortie de mes pensées en apercevant mes parents courir en ma direction, je pouvais voir sur leur visage qu'il était triste et terrorisé, et moi ? Rien. 

-" Kitsu!! Kitsu ! j-je... qu'est ce qu'il t'es arrivais ! Au mon dieux !" Dit ma mère en pleurant et prenant mon visage entre ses mains

Mon père quand à lui, il restait neutre, il n'avait pas l'air de ce soucier grandement de mon état comparé à ma mère

Celui-ci prononça tout simplement: "Au lieu de pleurer, emmène ta fille a l'hôpital."

Le ton de sa voix était presque agressif, méchant, Comme si ... Pour lui, j'étais simplement qu'un vulgaire objet

Comme toute personne normal j'aurais dûs ressentir une énorme tristesse en moi, mais au lieu de sa , rien.

Ma mère m'avait pris immédiatement dans ses bras puis ce dirigeais vers la voiture ou elle minstallais sur le siège arrière

Mon père, quand à lui, avait préféré rester à la maison pour regarder sa série télévisée

Je pouvais sentir des ondes négatives en moi, ça pouvais ce comprendre, je me détruisais petit à petit , chaque petite seconde qui passé

Je pouvais voir en ma mère qu'elle était désespéré du comportement de son mari , et elle avait raison de l'être car pour moi il n'était qu'un idiot qui ne comprenait rien à ma vie n'y celle de ma mère

Quand nous étions arrivé devant l'hôpital, ma mère m'a immédiatement emmené au près des infirmiers qui mon pris directement en charge

J'avais du mal à me concentré sur leur question car mon esprit était déjà brouillé par... Ce sourire....

Ils essayaient t'en bien que mal de me faire dire ce qu'il s'était passé mais c'est en vain qu'ils obtenaient aucune réponse de ma part

Je soupirais à chaque fois qu'ils me parlaient, mais au moment où un des soignants voulu toucher mon oeil pour voir son état, je fis un bond en arrière et leur hurlant dessus d'horribles mots que nul personne dans ce monde n'aurait aimer entendre

Les infirmiers, un peux sous le choc de ma réaction, on instantanément était appeler du renfort

Ils me tenaient fermement sur le lit et mon mit un masque pour me calmer et m'endormir...

Ce qui me parus un cours instant, je me réveillait avec un horrible mal de crâne, comme si l'on m'avais mit un coup de bâton sur celui-ci

j'essayais difficilement de me redresser mais la douleur me fit immédiatement abandonné cette idée, j'eus pour seul autre réflexe de déposer ma main à mon oeil gauche

Je pouvais sentir des nombreux bandage orné de ruban à désif  couvrir celui-ci ... Malgré l'anesthésie que j'avais subi, je ne cessais de penser à ce sourir... Son sourir....

Physiquement mon état était critique mais... mentalement, il y c'était passer quelque chose... j'avais comme ... oublié le passé ... J'avais oublié le bonheur, les bons moments... La seul chose que j'avais retenu c'est mon cauchemar et leurs visages .... oui ... Leurs visages, je les retrouverais et je leurs ferais payer le prix de leurs funérailles...

Soudain j'entendais la porte de la salle de repos s'ouvrir lentement laissant comme seul song le grincement de la porte

Ma mère, elle me regardait timidement d'un air attristée tout en s'approchant délicatement de moi avant de s'asseoir sur une chaise au bord de "mon lit" et prononçant quelques paroles

-"Pourquoi tu ne veux pas nous dire ce qu'il sais passé ?... Je peux comprendre que ça te fasse peur mais, les docteurs font ça pour ton bien" Me dit-elle avec douceur

Je ne voulais en aucun cas répondre, j'étais à nouveau dans mes pensées, des pensées qui devenait obscure, des plans, des idées de torture pour ... leurs visages...

Je savais bien que à présent je n'étais plus la même, quelque chose avait disparu, mes émotions était complètement évaporé pour laissez place au mot que mon esprit à graver en lui : Souffrance.