Tous les matins à l'heure où le Soleil de lève,
J'écoute le ruisseau glisser entre les pierres,
À l'heure où les oiseaux, vers moi prennent la relève,
Pour bien accompagner le chant de la rivière.Oui, j'irai par-delà le ruisseau, les cascades,
Les rivières et le fleuve ; je franchirai tout ça,
Pour aller toucher l'eau, l'eau salée de la mer,
L'océan dans lequel s' est jeté mon cours d'eauJe le dis devant vous, mes très chers camarades,
Qu'avec mon sac à dos, je partirai de là,
Je partirai d'ici et quitterai ma bruyère,
Je laisserai là tout ce que j'ai s' il le faut ;Pour voir la mer d'eau claire venant de ma rivière,
Je partirai un soir, une véprée banale,
J'emmènerai une rose, elle aussi bien banale,
Et je regarderai sa robe pourpre claire.************
Deux références sont cachées dans ce poème. Essayez de les retrouver ! (Elles sont dans les deux dernières strophes)
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Le recueil de poésies d'Erwann
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