Le regard follement enivré par ton nom
Je te voyais te vois lumière et infini
Nous étions des ondins dans le souffle de Shou
Portés par l'insouciance et les vents de Vayu
Comme ces gais oiseaux que l'on ne tranche pas
Nous étions liés par ce fabuleux récitUn jour nos fuchsias écrasés par la peur
Virent leurs pétales se faner et flétrir
A présent parmi les anges de l'écran noir
Tu flânes et admires leur vaine illusion
Au crépuscule Kali contemple avec âme
Mes étoiles couler de Vénus et de MarsComment comprendras-tu où ces fumées te guident
Sous quel ciel Mnémosyne ramassera tes eaux
ll est encore temps de quitter tout ce faux
Tout ce faux équilibre et ces rongeant regrets
Marchant dans tes yeux comme une ombre dans la nuit
Je t'aime malgré moi d'un feu indélébileAvant que l'épilogue ne cueille ta feuille
Souviens-toi que le jour laisse place à la nuit
Souviens-toi que la nuit laisse sa place au jour ...
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L'écume d'un cerisier sous la neige
PoetryJ'ai réalisé ce poème dans un cadre scolaire, cependant cet exercice m'a permis de m'exprimer au delà des consignes. Voici le sujet: Composer un poème de forme fixe ou en vers libres sur le thème du "Carpe diem" dans lequel, tout en l'invitant à pro...