L'amnésie

PROLOGUE

Bonjour, je reviens avec une nouvelle fanfiction de teen wolf. Cette histoire est écrite et inventée

pour un défi le Teen Wolf Pack. C'est un défis d'écriture francophone qui se concentre sur le groupe Teen Wolf.

Le seul point sur les auteurs qui doivent respecter est d'écrire minimum 10000 mots.

The but of challenge est d'écrire une histoire pour un artiste (inscrit au défi) s'en servir pour créé une image qui correspond au texte.

Bon et bien je vous laisse commencer la lecture de mon histoire, en espérant qu'elle vous plaise!

PROLOGUE

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Noah Stillinski est assis au comptoir de la cuisine, une tasse de café dans ses mains. Il travaille actuellement de nuit, il pensait rentrer et dormir pour être en forme pour sa prochaine garde.

Mais non Stiles et sa petite amie l'ont empêché de fermer les yeux. Ce n'est pas la première fois, que des cris se font entendre. Il ne peut s'empêcher de secouer la tête et de souffler. Il en peut plus. Heureusement que Lydia repart à l'université dans la journée. Les disputes deviennent quotidiennes.

Il sait que son fils a toujours rêvé d'être en couple avec la Banshee, malgré ses mises en garde sur le couple qu'ils formeraient.

Il se rappel la façon dont son fils était rentré du lycée avec un sourire pour lui annoncer qu'il était enfin en couple avec la femme de sa vie. Il a été content pour lui, mais les deux jeunes ados sont trop différents, pour que leur couple tienne. Il a essayé de lui en parler, mais son fils est une vraie tête de mule.

Il sort de ses pensées quand il entend un vacarme dans les escaliers, et les cris de Lydia qui doit sûrement être dans le couloir. Il pense aller voir ce qu'il se passe mais le ton de Lydia lui fit comprendre que son fils battait déjà en retraite.

– C'est ça, vas-y ! Vas rejoindre ton ami ! Je ne compte pas moi, ni notre couple ! J'en ai marre, reviens là immédiatement Stiles !

– Dans tes rêves Lydia ! Il vaut mieux que tu partes maintenant pour rejoindre l'appartement que tu partages avec Scott !

– Reviens là Stiles Stilinski ! Je n'en n'ai pas fini avec toi !

– Va te faire ....

La phrase de Stiles est coupée quand il voit son père dans la cuisine. Un café dans les mains, les yeux bouffies et cernés. Il se sent mal d'avoir oublié l'heure du retour de son père, mais sa copine a tendance à l'énerver depuis quelques mois.

Il se sent coupable, de faire vivre tout ça à son père. Il tente un léger sourire et lui dit :

– Hé papa ! Je ne savais pas que tu rentrais aussi tôt !

– Stiles il est neuf heure trente ! Je suis là depuis deux heures.

– Je suis désolé papa ! Mais Lydia va repartir dans la matinée. Pour éviter de te déranger, je vais aller aider Derek au manoir. Nous n'avons pas fini de réparer le toit. Et il est parti chercher sa nièce, ils reviennent ce soir. Je ne peux pas laisser un bébé de trois mois vivre dans une maison sans toit !

– Bien, mais il n'a t-il pas dit de ne pas y monter, s'il n'était pas là ?

– Si mais je ferais attention ! Et puis, j'ai besoin de sortir d'ici, et de m'occuper, le temps qu'elle s'en aille. Je te dis à demain, on ne se reverra pas avant que tu partes travailler.

– Bien, passe une bonne journée fils, et fais attention !

– Bonne journée. Répond Stiles, en se précipitant à l'extérieur, quand il entend la Banshee descendre en traînant sa valise.

Il file au manoir, après tout c'est une sorte de refuge pour lui. Dès qu'il a un problème, il se réfugie chez le loup grincheux. Il ne peut s'empêcher de sourire, en pensant à son ami. Car oui, contre tout attente, l'ancien Alpha est devenu une constante pour lui. Et quoi que tout le monde en pense, Derek parle beaucoup avec lui. Qui aurait cru que l'ancien Alpha taciturne avec tout le monde, soit aussi gentil et avenant avec lui, l'hyperactif.

Tout le long du trajet, il repense à sa copine. Peut-il l'appeler encore comme cela ? Après tout, ça fait quelques mois qu'il a dù mal à la supporter. Ils ne sont plus autant complices. Lydia lui en demande trop dans sa relation.

Il doit sans arrêt faire des sacrifices, elle aucun.

Elle ne supporte pas son hyperactivité, il a dù prendre plus de médicaments pour se tenir. Puis elle ne veut jamais l'emmener aux soirées avec ses amis, à croire qu'elle a honte de lui.

Quand au sexe, il se force. Il n'a plus le même désire pour elle qu'avant.

Il sait qu'il doit la larguer, mais il n'en a pas le courage. Après tout cela fait depuis la maternelle qu'il est amoureux d'elle. Et puis, peut être que ce n'est qu'une crise passagère, longue mais passagère. Comme le cap des sept ans de couple, mais là, ça ne fait que deux ans et demie.

Une fois arrivé, il ne perd pas de temps et installe l'échelle sur le côté du toit abîmé et y monte. Il espère finir avant le retour du propriétaire et de sa nièce.

Ça aussi, jamais il n'aurait cru voir un jour Derek accepter de s'occuper d'un bébé.

En même temps, il n'a pas vraiment le choix. Il est un peu devenu un oméga maintenant que la meute est partie à l'université. Ils reviennent de temps en temps, mais le loup, lui, reste seul. Enfin, maintenant Stiles est rentré, il passe leur temps ensemble.

Derek a reçu un appel un peu plus tôt de l'alpha de la meute de Cora. Il l'informait de la mort de sa sœur. L'Alpha lui a demandé, s'il voulait récupérer sa petite nièce, Ambre. Bien qu'il peut la garder, il sait aussi que Derek est sa seule famille à présent.

Le loup a bien sur accepté, il a déjà perdu sa sœur pour cette meute, il ne perdra pas sa nièce.

Quand il a expliqué la situation à Stiles, il lui a interdit de monter sur le toit avant son retour. Un hyperactif seul, là-haut était signe de problème, d'après le loup-garou.

Mais Stiles, étant Stiles, n'écoutait jamais rien. Et se hâte de réparer une partie de la toiture.

Il espère que le loup, verrait ses efforts qu'il avait fournis pour l'aider.

Le début de matinée se passe bien, malheureusement il pleuviote. Cela rend les tuiles glissantes. Stiles n'y fait pas attention et remonte plus haut sur le toit. Malheureusement un coup de vent le fait glisser. Il ne peut que dévaler la toiture et s'écraser au sol.

Il a mal, et ne peut se relever. Bien qu'il essaye, une douleur à sa tête le fait s'évanouir. Il n'a le temps que de murmurer :

- Derek !