Déçu je n'ai qu'une chose en tête, renté chez moi et ne plus y pensé en attendant le retour de mon père.
Je sors de delhaize en traînant me pied comme le fairait un enfant en caprice et là soudainement un individu m'entre dessus à toute allure en pleine vitesse comme si il était poursuivi par je ne sais quoi. Désolé dit elle en se retournant timidement vers moi. En croisent son regard, mon âme sors peu à peu de mon corps, je sent que je n'ai m'appartiens plus, mon cœur chamboule dans tout le sens mon rythme cardiaque s'accélère. Le destin m'a donné une deuxième chance alors que j'abandonnais toute espoir avec elle. Je suis comme frigorifié ses gros jolies yeux m'empêche de bouger, elle se retourne et s'éloigne. Je suis rester là sans bouger alors que ma deuxième chance accorder par le destin me file entre les doits, quand mon âme rejoint mon corps et que je reprends toute mes esprits je ne sais plus si saisir cette deuxième chance ou la laisser me filer complètement comme on dit qu'il y'a plusieurs poissons dans la mer mais moi c'est elle que je veux, alors je vais suivre le conseil de mon père et saisir cette chance que pleuve ou qu'il neige, c'est impossible de repousser à demain ce que je pourrais faire aujourd'hui et maintenant, je sors de delhaize je traverse le petit trottoir à sens unique et vais m'asseoir sur un gros rocher, en ce moment je me met dans la peau de ren macCormack dans le film footloose des années 80. Ce rocher étant très inconfortable je décide de chercher une place plus confortable je décide de m'asseoir sur l'un de vélo se trouvant sous l'abris pluie pour vélo qui en même temp une sorte de petit parking.
Peu importe ou je m'assois ma volonté et si forte que je pourrais t passer la nuit. Il est actuellement 19h57, plus que trois minute avant qu'elle termine son service du soir, 5 minute s'écoule et la voilà enfin qui sort accompagné de quelqu'un, une collègue je présume.
Je me tiens près à attaquer lorsque son regard croise à nouveau le miens et me fournit une nouvelle sensation cette fois si, comme des milliers de petits papillons qui volent dans mon estomac.
Elle le trottoir en me fixant droit dans mes yeux elle s'arrête juste devant moi elle a l'air énervée comme à chaque fois que je la vois
Moi:salut
Elle: je ne te dérange pas j'espère
Moi:non,non tranquille
Elle: alors enlève tes fesses sur mon vélo
Moi: quoi? C'est ton vélo
Elle:puisque je te le dit
Moi: ca t'arrive de sourire
Elle: non, pas quand je te vois
Moi: comment tu t'appelles
Elle: ca t'intéresse?
Moi: bah ouais puisque je te le demande
Elle: dégage de mon vélo tu vas me mettre hors tard
Moi: pas temps que tu m'aura pas dis ton prénom
Elle: je m'appelle Léa, c'est bon tu es content?
Moi: moi c'est Lucas
Léa: maintenant tu dégage sinon je cris que tu veux ne violer
Moi: loin de moi cette idée maléfique, vas y prend ton vélo
Léa: bah c'est pas trop tôt
Moi: bonne soirée à toi Léa
Léa:.......