Je lève les yeux,
Avant de voir le bleu du ciel,
je vois la misère,
Ils se plaignent pour un oui,
pour un non,
Ils ont oubliaient,
la pauvreté de ce monde,
Beaucoup mange parterre,
Donc regarde ton assiette,
Ils te disent t'aimer,
Mais derrière ce qu'ils peuvent te faire,
Tu peux pas imaginé,
Je m'en fiche de leurs jugements,
Je serai jugée le jours de mes funérailles,
J'ai toujours vue les choses à ma manière,
Et c'est pas demain que je vais changer,
Pas besoin d'être un siècle sur terre,
Pour voir que ce monde a un problème ,
Entre les pauvres que personne n'aident,
Et macron qui ne sait pas,
Que tout le monde n'est pas banquier,
On crachés sur Sarkozy,
Mais lui été pour les gens qui travailler,
Hollande n'a servi à rien,
À par ces histoires de cul,
On a jamais entendu parler de ce qu'il compter changer pour la France,
Les ragots et les erreurs des ministres font là une de la télé,
Ils ont oublier de parler des gens qui sont dans le froid l'hiver,
À par leurs billets rien ne compte,
On ne compte pas,
Pourquoi demander nos voies ?
Si nous ne comptons pas,
Ils cachent la vérité de ce monde,
Parce qu' ils ont peur des rébellions,
Les français on votaient,
sans trop de choix,
Ça fait des années que l'on votes,
En espérant pour le moins pire,
Mais le résultat et le même,
Un jours ou l'autre,
La vérité fera surface,
Et là ça fera mal,
Le peuple ne votera plus,
Ils ne faut plus voter,
Car ce que l'on souhaite,
N'a jamais été pris au sérieux,
Le monde ?,
Il va mal il commence à saturé.
