Jeudi 30 juillet 1914,
la guerre a commencé.
Je ne pourrai pas vous dire quand ni où mais elle est là.
Dans les petits villages de campagne la rumeur commençais à arriver comme une légende qui devenait réalité.
Dans ce temps-là personne n'avait connu la guerre on l'imaginait juste.
Ont pensaient que ça n'allait durer qu'un temps et que dans quelques mois ce serait terminé.
Ce matin on restais enfermé chez nous comme si ça pouvait nous sauver...
Au fond on avait juste peur de la mort.
Chaque matin par la fenêtre on observer les hommes partir à la guerre, comme si ils n'allaient jamais revenir, tout le monde était destiné à mourir.
Le visage éteint comme pour dire adieu à une France qu'il n'avait jamais connu, vivre était le seul mot qu'ils pouvaient encore prononcer.Le Monde et fait d'histoire incroyables et surprenante, qui peuvent nous détruire de jour en jour et nous exterminer en une seule parole.
La guerre c'étais un bien petit mot pour autant de tristesse, on ne savait pas ce qu'ils allaient nous arriver ni demain ni dans un mois on ne savait pas si on allait survivre ou mourir ou vivre pendant des années, ont avait juste peur de l'avenir et du temps qui passe.
Il pleuvait ce soir là les volets de la salle de bain claquais et par la fenêtre des soldats ivre mort marchais sur les pavés de la petite ruelle ils parlaient de la guerre et de ce qui se passer en haut de la France,que tout allait arriver si vite et que si on ne serait pas mort dans quelques mois ce serait un miracle. Je les es regardé s'enfoncer dans la pénombre pour enfin entendre mon cœur s'accélérer et prendre conscience que l'on vivait dans l'ignorance depuis toutes ces années.
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Au dernier souffle
Non-FictionUne jeune femme pleine d'espérance raconte l'histoire d'un passé qui a vécu la guerre dans toute sa terreur et sa splendeur. L'émotion de la guerre et la tristesse d'un peuple qui a souffert...