Vade Retro...

Chapitre 2 : Disparitions

  Les enfants n'étant pas revenus chez eux et n'ayant plus donner signe de vie depuis deux jours , les parents des deux garçons et quelques autres villageois décidèrent de se rendre dans le vieux couvent  pour retrouver les jeunes égarés . Passé les frontières du village devant une foret épaisse  , une ambiance malsaine , dérangeante et négative étais perceptible . Plus nous avançions dans la sombre foret et plus le sentiment de négativité étais fort . Si fort que quelques individus se mirent a avoir la migraine et vomirent . Aprés quelques minutes de marche ils se retrouvèrent alors enfin devant le couvent : 

  -Vous etes sur que vos enfant sont a cet endroit ? Engagea un homme . Ce n'est pas le genre de lieux qui plaisent a des jeunes banbins comme les votres . 

  -Je sais ,répliqua la mere de Jordan, mais comme je vous l'ai dis précédement , avant que mon fils ne quitte la maison , il m'as parlé d"'un couvent et d'une chose apparement "retenue" ou je ne sais quoi...

  -Catherine , ce ne sont que des gosses , tu connais leurs imaginations , Ajouta le père du second enfant 

  - Oui je la connais figure toi , réponda avec énervement Catherine . J'ai été une enfant aussi et je vous dis que mon fils est probablement entre ces murs , je ne vois donc pas ce que nous faisons encore ici a bavaser ! 

Catherine prit les devants et monta les escaliers du couvent avant de se retrouver devant la porte massive . Elle toqua a la porte , la boule au ventre , attendant désespérement une réponse. Quelques secondes plus tard , les bruits métaliques de l'ouvertures des verous était audible en tendant l'oreille . Ni une ni deux , la porte s'ouvrit dans un grincement épovantable . Rien apart la pénombre n'étais visible de l'autre coté de la porte. La moitié des villageois étais monté pour rejoindre Catherine , le reste étais retourner au village , tel la pression de l'air étais intense. La poignée d'individus poussèrent la porte et sans attendre , ils entra dans le couvent . Une forme visiblement voilée étas devant Catherine . 

  -Bonjour ? Disa hésitante catherine 

  - Que faites vous ici . Répliqua sans émotion la mystérieuse femme 

  -Nous sommes vennus jusqu'a votre couvent , mes amis et moi , car nous n'avons plus de nouvelle de nos enfants depuis deux jours et.... 

  -Des enfants ? Coupa la mystérieuse femme , immobile 

  -Oui , Et comme je le disais , nous n'avons pas de leurs nouvelles depuis deux jours et nous nous demandions si ils ne se serait pas rendus ici ... Expliqua Catherine

  -Non je n'ai pas eu la visite d'enfants depuis cela des années . Vous me feriez le plaisir de quitter ces lieux , la nuit tombe vite par ici... Répliqua t'elle aussi froidement et immobilement que les fois dernières

  -Tres bien . Disa la femme en dévisageant la femme . Euh. Vous etes la seule ici ma soeur ? Je ne vois personne d'autres a vos cotés 

Elle remarqua les croix retournés mais n'eut pas le temps d'argumenter avant d'etre coupé : 

  -Je vie et prie seule dans ce couvent , maintenant partez . Sa tete bougeas d'un geste sec en meme temps que son corps dans un craquement bruyant . 

  -Oui ! de ce pas ! Ajouta appeuré la mère de jordan 

Elle fit volte face pour se retrouver devant la porte , fit quelques pas et avant de saluer la dame la main posé sur la poignée de la porte , elle entendit un son semblables a la chute de goutes qui s'écrase au sol , intrigué elle tourna la tete et suivi l'endroit d'ou viennent les gouttes . Soudain elle lacha la main de la poignée , le souffle coupé , les yeux rivés sur les deux enfants , mutilé et démembrés en état de décomposition avancé . Le son ne pouvais a peine sortir de sa bouche et elle ne trouvas juste assez de force pour tourner la tete et se trouvas face a la Nonne , sa bouche s'entrouvris pour montrer ces dents pouries et jaunis par le temps . Elle disa ces mots :

 -C'est ironique quand on y pense , le fils viens me libérer et la mère viens se donner a moi . Que le monde est "petit" comme vous dites . En tout cas estime toi heureuse ...

  -Catherine pria pour qu il ne finisse pas sa phrase , la peur se lisa sur son visage ce qui plaisi a cette chose contraire a toute pureté . 

  Le sourire de cette chose continua de grandir jusqu'a arriver en dessous de ces yeux , son regard devint plus insistant , il se délecta de chaque seconde de souffrance de la jeune femme avant de conclure en ces mots : 

-L'enfer n'est pas si affreux que cela en as l'air , et estime toi heureuse que ta personne vas RADICALEMENT CHANGER LE COURS DE CE MONDE BIENTOT CORROMPU

J'espere que la seconde partie vous plairas et qu'elle ne seras pas nulle contrairement a la première . 

Dit moi sa en commentaires

Byeeeee ;3 

A SUIVRE