Certains prétendent quel'amour est une évidence quand on s'y trouve confronté. D'autre dise que letemps en est le principal acteur. Mais pour ma part je dirais que l'on ne peutdécrire l'amour et son sentiment qu'une fois qu'on l'a vécu et que celui-ci nedépend que de nous, de nos situations et de nos choix dans la vie. On m'atoujours dit que plus l'on cherche quelques chose et moins on ne le trouve etje pense que cela est vrai. Cela s'applique aussi à l'amour selon moi. Dumoins, il s'agit de ma supposition, pour le moment on ne peut pas dire quel'amour m'a souris.
Je n'ai appris que tard dans mon enfance ce qu'était l'amour parentale tous comme la liberté de vivre. Jusqu'à mes 15 ans, j'ignorais ce qu'étais l'amitié, l'amour d'une personne et le partage. Pour être plus claire avec vous, je faisais partie de ces adolescents mal dans leurs peaux, repoussé par les autres élèves puis devenu leur punching-ball. Cette élève que tout le monde critique, utilise, humilie et martyrise durant les récréations et même parfois en cour. Que voulez-vous, il faut bien un élève comme cela dans une classe, cela permet aux autres élèves de développer leurs personnalité.
Résultat, je me retrouvais très souvent seule enfin quand on ne venait pas m'agresser. Puis un jour les violences ont été plus fortes que les mots et je me suis retrouvé à l'hôpital, dans le coma pendant un long moment. A mon réveil, ma famille ne comprenait pas pourquoi moi, pourquoi je ne disais rien, pourquoi l'école n'avait rien fait et pourquoi autant de violence. Pour ma part cela faisais bien longtemps que je ne demandais plus pourquoi. C'est vrai, à quoi cela sert de ce poser tant de questions quand les réponses sont si varier. Certains vous diront que j'étais trop intelligente, trop provocatrice dans mon comportement, trop arrogante à travers l'ignorance de leurs mots à mon égard et pleins autres raisons. En fait je n'ai jamais porté une réelle importance aux pourquoi.
Après mon rétablissement, ma famille et moi avons déménagé et j'ai changé d'école. A partir de là j'ai décidé de ne plus être la victime des autres. Personnes me connaissait et je ne les connaissais pas. J'ai appris à dire non, je me suis fait violence à dire tout haut ce que je pensais sincèrement de chacun et j'ai accepté l'idée d'être seul non pas par obligation ou par rejet des autres mais par choix. Comme on le dit souvent « vaux mieux être seul que mal accompagné ». À ma plus grande surprise ses 5 années ont été les plus belles de ma scolarité. Même si après mon diplôme j'ai conservé que peu de contact et que j'avais été blessé sentimentalement par quelques personnes, je peux dire que j'ai été heureuse. J'ai appris l'amitié et la sincérité et la déchirure d'une séparation même si elle n'était qu'amicale.
Aujourd'hui j'ai 26 ans, je suis heureuse de ma vie et de ma carrière. Je suis seule mais entouré de personnes en qui j'ai une confiance totale et cela est ce que j'ai de plus précieux.
Je travaille dans un secteur qui me plait, je suis l'assistante du directeur de l'empire CORZIER. J'ai été embauché par le directeur, Matthew Corzier, peu de temps après mon arrivée en ville. Après avoir repris les rênes de l'entreprise de son grand-père, il a décidé de remodeler l'organisation de l'empire CORZIER. Nous n'avons pas plus de 3 ans de différence lui et moi. Rapidement, nous avons su nous coordonner et malgré son caractère dure et sévère, je fais partis des rares employé à être resté.
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Le passé
RomanceLorsque la vie vous donne une seconde chance, il ne faut pas hésiter à la saisir. C'est ce que j'ai fait, je l'ai prise avec ses conditions et les conséquences qui vont avec. Je pensé que je pourrais vivre simplement sans demander plus à la vie mais...