Chronique de Nassrine : Mon vécu

neuvième partie

Salam

J'ai pas pu fermé l'œil de la nuit, car je pensais pas perdre ma fierté de cette manière, mais nul ne peut échapper à son destin. C'est sa ma destinée.
Le lendemain ma tante et mon oncle, viennent me rendre visite j'étais contente de les voir, ma tante m'a apporté beaucoup de petit plats. Elle me force à manger, elle laisse le reste au cas ou... Deux heures après ils repartent et Rahana vient me voir accompagné de Nasser et Mira.

Rahana : SALUT SALUT LA REINE EST DANS LA PLACE

Elle est pas sérieuse elle même à l'hôpital elle cris. Elle se tais jamais ou quoi ?

Nasser : on t'a pas appris à la fermer ? Et t'es reine de qui même ?

Rahana : je t'ai sonné ? Pas ta reine en  tout cas

Nasser : shui une cloche ? Tu peux aller crever tu sera jamais ma reine

Rahana : t'en à....

Elle a pas fini qu'elle se fait coupé par Mira

Mira : vous en n'avez pas assez de vous chamailler tous le temps  ? Vous êtes des bébé enfaite. Y'en à qui sont venus voir leur maman, bougez de là pour que je passe. Moi je suis pas la pour vous regardez vous  battre.

Elle est sérieuse la petite ?
En tout cas elle à réussit à les faire taire. Elle me saute dans les bras et me fait pleins de bisous baveux

Mira : tu m'a manqué

Moi : tu m'a manqué aussi chérie

Elle se  détache de moi

Mira : promet moi que tu va plus me laissé seule

Moi : promis bébé

On se fait un câlin

Rahana et Nasser en même temps : et moi je suis invisible ?

Nasser : arrête de voler mes idées

Rahana : c'est toi que vole les miennes Ouais

Nasser : parce-que t'en à ?

Ils continuent à se disputer je pense qu'il m'ont même oublier

Moi : hé oh

Nasser : ah, désolé ma princesses comment tu va ?

Moi : bien et toi

Nasser :  ça va

Moi : Rahana matno ( c'est comment ) ?

Rahana : tranquille et toi ma puce

Moi :  pas mal

Rahana : désolée pour ce qui t'es arrivée

Moi : t'inquiète

On continu à discuter jusqu'à ce que l'heure des visites soit terminée ils rentrent à la maison. J'ai passé une bonne journée en leur compagnie j'ai presque oublié mes problèmes. Je regarde la télé après leur départ et quelques minutes après c'est  dodo.

Je vous passe jusqu'au jour de mon départ de cet hôpital, j'ai horreur des hôpitaux. Je me réveille je fait ce que j'ai à faire et me prépare pour attendre qu'on vienne me chercher. Il est déjà 12h et personne n'est venu, j'essaie de les appelés mais rien y fait. Je m'impatiente j'ai envie de rentrer chez moi. J'étais la jusqu'à 18h à m'ennuyer quand Kaled fait éruption  dans la chambre. Il était bien habillé, avec une chemise rouge un costume noire et une cravate de la même couleur, il avait des chaussures en cuire noires

Kaled : salam aleiki

Moi : wa aleika salam

Kaled : ça va ?

Moi : oui très bien et toi

Kaled : ça va. Tiens va te changer on bouge

Je prends le sac qu'il me tend sans rien lui dire. Je sais pas pourquoi je peux pas lui parler ni même soutenir son regard.
Bref je prend une douche et porte ce qu'il me donne. C'était une robe longue de couleur saumon avec une jacquette rose et un voile de la même couleur que la  robe. Avec des chaussures pied nu de couleur rose aussi.

Je sors de la salle d'eau il était sur son téléphone, je sais pas comment lui faire savoir que j'ai finis en plus il m'a jamais vu comme ça, je porte toujours de grand hijab. Je me demande même pourquoi il me demande de porter cette  robe

Bref je décide de lui parler

Moi : Kaled ?

Il relève la tête et bloque en me voyant

              Dans la peau de Kaled

Elle est juste waouh je l'ai jamais vu en robe auparavant, et je ne peux que dire qu'elle lui va à merveille. Je bloqué en la voyant c'est vraiment une créature sublime.

Nassrine : Kaled ça va ?

En plus sa voix, sa façon de prononcer mon nom, Macha Allah

Moi : euh oui allons

             De retour de la peau de Nassrine

Sa façon de me dévisager me plait pas vraiment, j'aime pas quand on détail mon corps mais je n'y peut rien.
Il prend les affaires , les met dans le coffre de sa voiture. On arrive à la maison on entre et...

Oh mon dieu

Suite très bientôt
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